Dans ce deuxième opus, c'est l'adolescence d'Euless Boss dit le coach qui est racontée. Sans un mot de trop, l'histoire fait mouche avec sa noirceur et ses espoirs. Dans ce Sud raciste et violent, on pourrait presque avoir de la compassion pour le Coach. Mais ce qui définit un homme, ce n'est pas son physique ou sa instruction mais ses actions. Et coté action, le Coach Boss ne fait pas dans la demi-mesure.
Seul bémol, la partie tactiques et règles de football américain me sont passer au-dessus. Peut-être trop précis !
Commenter  J’apprécie         20