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Critique de Enroute
J'ai eu un doute quand j'ai lu à la bibliothèque, que le nom du dictateur était précédé dans le titre de "le vrai" - ce qui semblait impliquer une biographie pleine de "révélations", c'est-à-dire une expression favorisant les "sensations" - et ce doute s'est changé en préjugé quand j'ai lu dans le bas de la couverture : "une biographie qui donne le frisson"... Bon, c'était la seule biographie disponible, j'ai tout de même emporté le livre...
Et puis à la première ligne, on lit : "Ce qui a été écrit sur la vie de Saddam Hussein par la presse et par les biographes est généralement exact", qui m'a fait pouffer... le genre de phrases qui ne veut rien dire sinon que l'auteur se place au-dessus de tous les autres et le fait de manière à ne pas être contredit : "généralement" exact... Donc c'est avec beaucoup de distance que je lis en synthèse le premier chapitre selon lequel le personnage est diabolique, mais c'est normal car la nature des Irakiens l'est et d'ailleurs le pays n'a été traversé que par la violence à toutes les époques, c'est donc normal qu'il génère un monstre... Donc là, bien sûr, on a le choix de continuer, pour s'amuser - ou d'interrompre.
ce n'est pas mal écrit, ni mal traduit, ça se lit très vite : je ne dis pas que je ne poursuivrai pas, pour m'endormir par exemple, les 600 pages de ce texte, mais dans le genre j'avais très apprécié la biographie de Teresa May : comme toute plaisanterie grossière, elle est savoureuse parce qu'elle est courte...
Et puis à la première ligne, on lit : "Ce qui a été écrit sur la vie de Saddam Hussein par la presse et par les biographes est généralement exact", qui m'a fait pouffer... le genre de phrases qui ne veut rien dire sinon que l'auteur se place au-dessus de tous les autres et le fait de manière à ne pas être contredit : "généralement" exact... Donc c'est avec beaucoup de distance que je lis en synthèse le premier chapitre selon lequel le personnage est diabolique, mais c'est normal car la nature des Irakiens l'est et d'ailleurs le pays n'a été traversé que par la violence à toutes les époques, c'est donc normal qu'il génère un monstre... Donc là, bien sûr, on a le choix de continuer, pour s'amuser - ou d'interrompre.
ce n'est pas mal écrit, ni mal traduit, ça se lit très vite : je ne dis pas que je ne poursuivrai pas, pour m'endormir par exemple, les 600 pages de ce texte, mais dans le genre j'avais très apprécié la biographie de Teresa May : comme toute plaisanterie grossière, elle est savoureuse parce qu'elle est courte...
