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Critique de Celise
Une séduisante jeune femme, étoile montante dans le milieu politique danois est enlevée puis séquestrée pendant des années dans une cave.
Carl Morck, flic rusé mais désabusé et un peu cabossé par la vie, va enquêter sur cette disparition. "Placardisé" suite à sa nomination à la tête d'un tout nouveau service spécialisé dans les affaires non résolues, le Département V, Morck va faire équipe avec un surprenant assistant, Assad, syrien d'origine et plein de ressources.
J'ai longtemps reporté la lecture de ce roman car l'image de cette jeune femme enfermée pendant des années m'impressionnait un peu (et pourtant j'ai lu bien pire, mais bon, chacun a ses phobies personnelles…).
L'histoire a un peu tardé à se mettre en place. L'auteur a pris soin de camper son personnage principal ainsi que les étapes de la création du Département V que l'on retrouvera certainement dans d'autres tomes. Donc pourquoi pas, d'autant que, ma foi, le duo entre Morck et Assad semble plutôt bien s'enclencher et qu'il se dégage de leur association un côté humoristique, légèrement loufoque et décalé que j'ai beaucoup apprécié.
Une fois que les premiers éléments de l'enquête ont commencé à se mettre en place, le roman a enfin pris un rythme plus soutenu et j'ai commencé à vraiment mordre à l'hameçon.
Malheureusement, j'ai deviné assez rapidement l'identité de l'agresseur, alors que d'habitude, je suis complètement nulle à ce petit jeu, mais honnêtement, c'était selon moi cousu de fil blanc…
Pour moi, c'est donc une mini déception à cause de cela car je sais que ce roman a eu beaucoup de succès par ailleurs et de fait, je reconnais qu'il a d'indéniables qualités: intensité dramatique, personnages attachants... il manquait simplement ce petit twist qui fait la différence.
Toutefois, je lirai les tomes suivants car j'ai beaucoup aimé le duo Morck / Assad que je trouve original et attachant et je pense qu'il y a un potentiel pour de prochaines belles enquêtes.
Carl Morck, flic rusé mais désabusé et un peu cabossé par la vie, va enquêter sur cette disparition. "Placardisé" suite à sa nomination à la tête d'un tout nouveau service spécialisé dans les affaires non résolues, le Département V, Morck va faire équipe avec un surprenant assistant, Assad, syrien d'origine et plein de ressources.
J'ai longtemps reporté la lecture de ce roman car l'image de cette jeune femme enfermée pendant des années m'impressionnait un peu (et pourtant j'ai lu bien pire, mais bon, chacun a ses phobies personnelles…).
L'histoire a un peu tardé à se mettre en place. L'auteur a pris soin de camper son personnage principal ainsi que les étapes de la création du Département V que l'on retrouvera certainement dans d'autres tomes. Donc pourquoi pas, d'autant que, ma foi, le duo entre Morck et Assad semble plutôt bien s'enclencher et qu'il se dégage de leur association un côté humoristique, légèrement loufoque et décalé que j'ai beaucoup apprécié.
Une fois que les premiers éléments de l'enquête ont commencé à se mettre en place, le roman a enfin pris un rythme plus soutenu et j'ai commencé à vraiment mordre à l'hameçon.
Malheureusement, j'ai deviné assez rapidement l'identité de l'agresseur, alors que d'habitude, je suis complètement nulle à ce petit jeu, mais honnêtement, c'était selon moi cousu de fil blanc…
Pour moi, c'est donc une mini déception à cause de cela car je sais que ce roman a eu beaucoup de succès par ailleurs et de fait, je reconnais qu'il a d'indéniables qualités: intensité dramatique, personnages attachants... il manquait simplement ce petit twist qui fait la différence.
Toutefois, je lirai les tomes suivants car j'ai beaucoup aimé le duo Morck / Assad que je trouve original et attachant et je pense qu'il y a un potentiel pour de prochaines belles enquêtes.
