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Critique de kadeline
Je ne sais pas pourquoi mais j'étais persuadée que j'avais accepté ce livre pour découvrir de la fantasy avec un fond «africain » et en fait non c'est du space opéra. du coup les premières occurrences de voitures, appareils électroniques… m'ont laissée un peu perplexe et bien qu'ayant vu le potentiel du récit j'ai l'impression d'être passé en partie à côté.
L'univers et l'écriture sont denses et donne une histoire qui n'est pas forcément d'un premier accès facile. La gymnastique entre les changements de lieu et/ou de temps est un peu compliquée au départ et n'est pas facilitée par les personnages sans nom. J'ai passé les premières pages à espérer enfin avoir les noms de chacun plutôt que : le vieil homme, la jeune femme noire svelte comme un épi de blé (au moins 2 fois en quoi 5 pages), la jeune femme asiatique, l'homme brun… Et pour faciliter les choses la vieille femme/grand-mère est la même personne que la jeune femme noire svelte…. du coup l'entrée en matière a été rude, très rude. Une fois les noms posés, on se retrouve dans un schéma littéraire que j'avais adoré dans le nom du vent : une personne vient écouter le témoignage d'un personnage qui raconte les événements de sa jeunesse. Contrairement au nom du vent où la plume donne une histoire fluide, ici le début de l'histoire est récitée de manière très brouillonne ce qui colle bien avec le récit d'un personnage en fin de vie. La fluidité arrive par la suite quand les « témoins » voient les événements grâce à un appareil l'oniroscope. En parallèle, la vieille femme raconte une légende. Les deux récits sont intéressants, bien construits et s'entremêlent à un rythme bien dosé. L'alternance en revanche n'est pas toujours très fluide. Si l'on passe outre quelques soucis géologiques, l'histoire tient la route et est intéressante. Les personnages sont variés, complexes et il est difficile de savoir à qui faire confiance, dans quel camp se positionner. le sac de noeud dans lequel évoluent les personnages est génial si l'on aime se torturer un peu le cerveau/ Je ne pense pas que c'était la lecture qu'il me fallait à ce moment là mais j'ai vu un potentiel qui mérite qu'on s'y intéresse surtout si l'on est fan de science fiction.
L'univers et l'écriture sont denses et donne une histoire qui n'est pas forcément d'un premier accès facile. La gymnastique entre les changements de lieu et/ou de temps est un peu compliquée au départ et n'est pas facilitée par les personnages sans nom. J'ai passé les premières pages à espérer enfin avoir les noms de chacun plutôt que : le vieil homme, la jeune femme noire svelte comme un épi de blé (au moins 2 fois en quoi 5 pages), la jeune femme asiatique, l'homme brun… Et pour faciliter les choses la vieille femme/grand-mère est la même personne que la jeune femme noire svelte…. du coup l'entrée en matière a été rude, très rude. Une fois les noms posés, on se retrouve dans un schéma littéraire que j'avais adoré dans le nom du vent : une personne vient écouter le témoignage d'un personnage qui raconte les événements de sa jeunesse. Contrairement au nom du vent où la plume donne une histoire fluide, ici le début de l'histoire est récitée de manière très brouillonne ce qui colle bien avec le récit d'un personnage en fin de vie. La fluidité arrive par la suite quand les « témoins » voient les événements grâce à un appareil l'oniroscope. En parallèle, la vieille femme raconte une légende. Les deux récits sont intéressants, bien construits et s'entremêlent à un rythme bien dosé. L'alternance en revanche n'est pas toujours très fluide. Si l'on passe outre quelques soucis géologiques, l'histoire tient la route et est intéressante. Les personnages sont variés, complexes et il est difficile de savoir à qui faire confiance, dans quel camp se positionner. le sac de noeud dans lequel évoluent les personnages est génial si l'on aime se torturer un peu le cerveau/ Je ne pense pas que c'était la lecture qu'il me fallait à ce moment là mais j'ai vu un potentiel qui mérite qu'on s'y intéresse surtout si l'on est fan de science fiction.
