Je ne sais pas faire des critiques de quinze pages, ce n'est pas mon style. On aime où on n'aime pas un livre, soit on abandonne la lecture dès le début du roman, soit on arrive au bout en quelques heures, et là, c'est la magie de la lecture.
Ici, avec «
Nostradamus et le dragon de Raphaël» de Jean d'Aillon, c'est de retrouver le trésor de Charles Quint. Nous sommes en 1564, en pleine guerre de religion, en Provence sous la régence de Catherine de Médicis. Manigance, traitrise sont les maitres mots de ce roman. En plus de l'intrigue policière, l'auteur nous fait redécouvrir des faits historiques. C'est plein de rebondissements et c'est un polar qui se lit très vite. L'énigme nous tient en haleine du début à la fin.
On n'a pas envie de s'arrêter de lire ce roman et on souhaite en connaître le dénouement le plus rapidement possible. Trouvez le, lisez le, vous ne serez pas déçu.
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