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Critique de Leschroniquesdekali
Il est de retour !!!! Qui ça ? Qui ça ? Mais Drek Carter, voyons !
Souvenez-vous. Notre ectoplasme préféré est condamné jusqu'à la prochaine lune, ou encore la prochaine, ou encore la prochaine à rester sur Terre, à New-York, plus précisément. Pour une raison obscure, on lui refuse les portes de l'au-delà. Heureusement pour lui, son meilleur pote, Tony, n'est rien de moins qu'un charpa, sorte de sorcier capable de voir et communiquer avec les êtres surnaturels et accessoirement passeur d'âmes, ça tombe bien.
Nos deux compères, l'un flic et l'autre ex-légiste (ex, car un peu décédé) cohabitent donc dans l'appart de Tony, c'est plus simple. Simple …T'as raison … avec Drek qui parvient désormais à passer du plan astral au plan physique et Tony qui, dans le physique est pas mal non plus, car en trouple, simple, basique.
Mis à part ces petits détails, Drek a toujours une poisse de dingue qui lui colle à la peau mais histoire de corser le tout, de nouveaux pouvoirs qui le titillent grave. Après des arrachages de coeur, ce sont d'étranges disparitions cette fois-ci qui se multiplient autour de lui. Beaucoup trop pour n'être qu'une coïncidence, non ? Les anciennes connaissances rencontrées lors des tomes précédents sont toujours d'actualités : la meute de loups-garous, la vampire nympho et son rejeton sexy, les collègues et élèves de Drek (oui, il est désormais prof de chimie, quelle idée !!!!)
Quel est le dénominateur commun ? Tony et Drek vont enquêter pour le savoir et ça ne va pas être de tout repos.
Dans ce monde où le surnaturel cohabite avec l'humain, l'auteur nous plonge à nouveau dans une histoire pleine de rebondissements dans laquelle on se plaira à relever les indices. Mais s'il y a suspense, il y a surtout HUMOUR et c'est pour cette raison que j'aime tellement cette série. J'ai, à chaque nouveau tome, plaisir à retrouver Drek et son personnage décalé qui nous parle en aparté et sa dynamique avec son pote Tony.
Mon âme romantique rêve encore d'un friends to lovers, mais je crois que c'est foutu, Drek est atteint de « Purple Rain », définitivement. Tu lis, tu comprends ce jeu de mots très nul, et maintenant, tu as la musique dans la tête @lovesymbol. Bref …
Désormais, c'est comme une routine, j'attends avec impatience le nouveau Drek Carter et quand je l'ai, je m'installe tranquillou pilou et je sais que je vais passer un bon moment. Accroc au suspens et au surnaturel, je suis comblée. C'est surtout ce personnage qui me plait et la dynamique entre nos deux héros, entre codes, vannes, quiproquos, c'est excellent. Et cette trame, bien ficelée, rien n'est laissé au hasard car tout finit par prendre sens. On a presque envie de relire l'histoire pour voir ce que l'on a loupé.
Encore une fois, j'ai été embarquée dans cette nouvelle aventure de Drek, Tony et les autres, sous la plume addictive de Thomas Andrews. Son style caractéristique me plait vraiment beaucoup et j'ai hâte de découvrir la suite, car, ce n'est pas un gros spoil, Drek est toujours parmi nous et je sens bien qu'il va encore lui arriver deux, trois bricoles.
Souvenez-vous. Notre ectoplasme préféré est condamné jusqu'à la prochaine lune, ou encore la prochaine, ou encore la prochaine à rester sur Terre, à New-York, plus précisément. Pour une raison obscure, on lui refuse les portes de l'au-delà. Heureusement pour lui, son meilleur pote, Tony, n'est rien de moins qu'un charpa, sorte de sorcier capable de voir et communiquer avec les êtres surnaturels et accessoirement passeur d'âmes, ça tombe bien.
Nos deux compères, l'un flic et l'autre ex-légiste (ex, car un peu décédé) cohabitent donc dans l'appart de Tony, c'est plus simple. Simple …T'as raison … avec Drek qui parvient désormais à passer du plan astral au plan physique et Tony qui, dans le physique est pas mal non plus, car en trouple, simple, basique.
Mis à part ces petits détails, Drek a toujours une poisse de dingue qui lui colle à la peau mais histoire de corser le tout, de nouveaux pouvoirs qui le titillent grave. Après des arrachages de coeur, ce sont d'étranges disparitions cette fois-ci qui se multiplient autour de lui. Beaucoup trop pour n'être qu'une coïncidence, non ? Les anciennes connaissances rencontrées lors des tomes précédents sont toujours d'actualités : la meute de loups-garous, la vampire nympho et son rejeton sexy, les collègues et élèves de Drek (oui, il est désormais prof de chimie, quelle idée !!!!)
Quel est le dénominateur commun ? Tony et Drek vont enquêter pour le savoir et ça ne va pas être de tout repos.
Dans ce monde où le surnaturel cohabite avec l'humain, l'auteur nous plonge à nouveau dans une histoire pleine de rebondissements dans laquelle on se plaira à relever les indices. Mais s'il y a suspense, il y a surtout HUMOUR et c'est pour cette raison que j'aime tellement cette série. J'ai, à chaque nouveau tome, plaisir à retrouver Drek et son personnage décalé qui nous parle en aparté et sa dynamique avec son pote Tony.
Mon âme romantique rêve encore d'un friends to lovers, mais je crois que c'est foutu, Drek est atteint de « Purple Rain », définitivement. Tu lis, tu comprends ce jeu de mots très nul, et maintenant, tu as la musique dans la tête @lovesymbol. Bref …
Désormais, c'est comme une routine, j'attends avec impatience le nouveau Drek Carter et quand je l'ai, je m'installe tranquillou pilou et je sais que je vais passer un bon moment. Accroc au suspens et au surnaturel, je suis comblée. C'est surtout ce personnage qui me plait et la dynamique entre nos deux héros, entre codes, vannes, quiproquos, c'est excellent. Et cette trame, bien ficelée, rien n'est laissé au hasard car tout finit par prendre sens. On a presque envie de relire l'histoire pour voir ce que l'on a loupé.
Encore une fois, j'ai été embarquée dans cette nouvelle aventure de Drek, Tony et les autres, sous la plume addictive de Thomas Andrews. Son style caractéristique me plait vraiment beaucoup et j'ai hâte de découvrir la suite, car, ce n'est pas un gros spoil, Drek est toujours parmi nous et je sens bien qu'il va encore lui arriver deux, trois bricoles.
