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Critique de c.brijs
Dans un village de la Chine antique, un homme possède un cheval blanc prodigieux, capable de comprendre le langage des humains. Alors qu'il doit entreprendre un voyage d'affaires, le villageois confie l'animal à Cannû, sa fille, aussi belle qu'intelligente. Les jours passent... La jeune fille se sent seule et trouve auprès de la bête une oreille attentive. Toutefois, inquiète de l'absence prolongée de son père, et face à l'indifférence des villageois, elle ne sait plus à quel dieu se vouer et est prête à toutes les promesses pourvu qu'on lui ramène son père sain et sauf !
La déesse des vers à soie est ce qu'on appelle un conte étiologique ou conte du pourquoi qui explique l'origine du ver à soie et de son fil prodigieux. Puis, de sa culture et de la richesse qu'elle a engendrée...
Dans ce récit, deux êtres dont l'amour est condamné par les hommes s'unissent malgré tout. Leur union a cependant un prix, celui de l'exil et de la solitude. Ici, il n'est cependant pas question de vengeance ou de désespoir mais plutôt de résilience et d'espoir en la vie, plus forte que tout :
"Dès qu'elle pensait à son pays, et au long chemin qui l'avait menée dans cette vallée, ce n'étaient plus des mots qui sortaient de sa bouche, mais un long et très fin fil de soie : le fil sans brisure de ceux qui comprennent la tristesse et la transforment en richesse."
Cette histoire étonnante est soutenue par les très belles illustrations (estampes) en noir et blanc d'Elza Lacotte. De-ci de-là, comme pour ponctuer les péripéties, on retrouve aussi un petit sceau rouge qui prend différentes formes et apporte une petite touche de couleur bienvenue au fil de ces pages .
Sorte de fil rouge qu'on retrouve au sens propre à la fin ! Sans nul doute un fil de la "déesse des vers à soie" !
En effet, en bonus, comme c'est le cas pour l'autre titre de cette collection originale "Les minuscules", Mon cousin Hugo, le jeune lecteur se voit proposer, en prolongement à sa lecture, un bricolage. Ici, il s'agit de réaliser un papillon-volant !
En bref, une collection à épingler entre autres pour son format XL (140x300), son contenu à la fois poétique et didactique, son papier de grande qualité, ses illustrations féeriques et son petit bonus ludique !
Lien : http://lacoupeetleslevres.bl..
La déesse des vers à soie est ce qu'on appelle un conte étiologique ou conte du pourquoi qui explique l'origine du ver à soie et de son fil prodigieux. Puis, de sa culture et de la richesse qu'elle a engendrée...
Dans ce récit, deux êtres dont l'amour est condamné par les hommes s'unissent malgré tout. Leur union a cependant un prix, celui de l'exil et de la solitude. Ici, il n'est cependant pas question de vengeance ou de désespoir mais plutôt de résilience et d'espoir en la vie, plus forte que tout :
"Dès qu'elle pensait à son pays, et au long chemin qui l'avait menée dans cette vallée, ce n'étaient plus des mots qui sortaient de sa bouche, mais un long et très fin fil de soie : le fil sans brisure de ceux qui comprennent la tristesse et la transforment en richesse."
Cette histoire étonnante est soutenue par les très belles illustrations (estampes) en noir et blanc d'Elza Lacotte. De-ci de-là, comme pour ponctuer les péripéties, on retrouve aussi un petit sceau rouge qui prend différentes formes et apporte une petite touche de couleur bienvenue au fil de ces pages .
Sorte de fil rouge qu'on retrouve au sens propre à la fin ! Sans nul doute un fil de la "déesse des vers à soie" !
En effet, en bonus, comme c'est le cas pour l'autre titre de cette collection originale "Les minuscules", Mon cousin Hugo, le jeune lecteur se voit proposer, en prolongement à sa lecture, un bricolage. Ici, il s'agit de réaliser un papillon-volant !
En bref, une collection à épingler entre autres pour son format XL (140x300), son contenu à la fois poétique et didactique, son papier de grande qualité, ses illustrations féeriques et son petit bonus ludique !
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