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Critique de gill
André-Paul Antoine signe là une comédie gaie, frisant même, parfois, la farce.
La forme en est très originale. Cette ennemie, dont nous parle le titre est une femme.
L'auteur nous décrit trois types d'hommes et leurs attitudes différentes devant une femme à trois époques différentes (1890 - 1900 - 1912).
Ces trois hommes sont morts et reposent côte à côte dans un petit cimetière. Ils sortent, pourtant, de leur sépulture et discutent, se racontant mutuellement, leur propre histoire.
Et il s'avère que le fiancé romantique, le mari bourgeois et l'amant ont été victime de la même femme, le premier du fait de son indifférence, le second frappé par la trahison et le troisième foudroyé par l'amour.
Les scènes rebondissent les unes contre les autres en figurant tour à tour le présent et le passé.
Le troisième acte se déroule de nos jours et cette femme, qui fut la fiancée, la femme et la maîtresse, n'est plus qu'une vieille dame aux cheveux blancs.
Cette pièce, marque une date dans l'évolution du Théâtre contemporain, car elle brise les cadres traditionnels. Elle fut, un moment accusée de misogynie, mais elle fut, aussi, défendue par des femmes.
Ses dialogues sont pleins d'ironie, des rebondissements éclatent brusquement aux détours des scènes. L'auteur nous offre là une belle comédie satyrique et drôle.
La forme en est très originale. Cette ennemie, dont nous parle le titre est une femme.
L'auteur nous décrit trois types d'hommes et leurs attitudes différentes devant une femme à trois époques différentes (1890 - 1900 - 1912).
Ces trois hommes sont morts et reposent côte à côte dans un petit cimetière. Ils sortent, pourtant, de leur sépulture et discutent, se racontant mutuellement, leur propre histoire.
Et il s'avère que le fiancé romantique, le mari bourgeois et l'amant ont été victime de la même femme, le premier du fait de son indifférence, le second frappé par la trahison et le troisième foudroyé par l'amour.
Les scènes rebondissent les unes contre les autres en figurant tour à tour le présent et le passé.
Le troisième acte se déroule de nos jours et cette femme, qui fut la fiancée, la femme et la maîtresse, n'est plus qu'une vieille dame aux cheveux blancs.
Cette pièce, marque une date dans l'évolution du Théâtre contemporain, car elle brise les cadres traditionnels. Elle fut, un moment accusée de misogynie, mais elle fut, aussi, défendue par des femmes.
Ses dialogues sont pleins d'ironie, des rebondissements éclatent brusquement aux détours des scènes. L'auteur nous offre là une belle comédie satyrique et drôle.
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