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Critique de SPORTY
Tout d'abord, je remercie Babelio et les éditions Kennes de m'avoir permis de découvrir ce premier tome des aventures de Cizo, le héros de cette fable De La Fontaine des temps modernes dans laquelle les animaux nous donnent une leçon de vie sportive.
Même avec des animaux , Alexandre Aré aurait pu se contenter de faire évoluer ses personnages dans le monde du football actuel. Et bien non, il a préféré créer un monde différent où l'argent, qui agite beaucoup le football actuel, est remplacé par les muscles et l'agressivité; surement un clin d'oeil au rugby moderne.
Des clins d'oeil il y en a beaucoup d'autres comme ceux :
- aux commentateurs foot du passé : Jean Mimi est devenu Mitch
- aux grands du foot avec des des noms juste un peu déformés
- à la Une de l'équipe pour la victoire de la France en 1998
J'ai adoré le nom du président de l'UEFA Zogallo ou Zagalo (le vrai) ou Au galop comme le suggère le cheval qui incarne ce personnage.
Tout cela relève d' une certaine culture footballistique.
Le scénario lui est des plus classiques et déjà maintes fois utilisé dans des films sur fond sportif. David terrasse en général Goliath grâce à un super coach.
La morale est elle aussi classique : la force de l'équipe est souvent plus forte que la puissance .
Cependant, l'histoire est menée à très vive allure, avec des personnages sympathiques et avec beaucoup d'humour. On y voit un goal volant que l'on a connu dans notre enfance, les frères Sy - Am (ois) , les taureaux Charal et Angus, le préparateur sportif Riner, etc...
Le rythme et les graphismes tout en mouvements rappellent forcément les héros télé des années 80 : Olive et Tom.
En conclusion un savant mélange de sport, d'humour, de couleurs qui véhicule beaucoup d'optimisme et de joies.
Même avec des animaux , Alexandre Aré aurait pu se contenter de faire évoluer ses personnages dans le monde du football actuel. Et bien non, il a préféré créer un monde différent où l'argent, qui agite beaucoup le football actuel, est remplacé par les muscles et l'agressivité; surement un clin d'oeil au rugby moderne.
Des clins d'oeil il y en a beaucoup d'autres comme ceux :
- aux commentateurs foot du passé : Jean Mimi est devenu Mitch
- aux grands du foot avec des des noms juste un peu déformés
- à la Une de l'équipe pour la victoire de la France en 1998
J'ai adoré le nom du président de l'UEFA Zogallo ou Zagalo (le vrai) ou Au galop comme le suggère le cheval qui incarne ce personnage.
Tout cela relève d' une certaine culture footballistique.
Le scénario lui est des plus classiques et déjà maintes fois utilisé dans des films sur fond sportif. David terrasse en général Goliath grâce à un super coach.
La morale est elle aussi classique : la force de l'équipe est souvent plus forte que la puissance .
Cependant, l'histoire est menée à très vive allure, avec des personnages sympathiques et avec beaucoup d'humour. On y voit un goal volant que l'on a connu dans notre enfance, les frères Sy - Am (ois) , les taureaux Charal et Angus, le préparateur sportif Riner, etc...
Le rythme et les graphismes tout en mouvements rappellent forcément les héros télé des années 80 : Olive et Tom.
En conclusion un savant mélange de sport, d'humour, de couleurs qui véhicule beaucoup d'optimisme et de joies.
