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Critique de lechristophe
Cette troisième intégrale de la série "Lanfeust des étoiles" rassemble les deux derniers tomes "Le secret des Dolphantes" et "Le sang des comètes", ainsi qu'un bestiaire.
C'est l'occasion pour notre héros Lanfeust, parti à la recherche de son fils Gun enlevé par Thanos, des dernières révélations, et surtout du rebondissement final incroyable à la fin du dernier tome. Il est toujours aussi paumé face aux événements et ne s'en sort que grâce à la présence du troll Hébus alias le Massacror.
Le dessin s'est (heureusement) amélioré par comparaison à la série précédente "Lanfeust de Troy", l'humour balance entre le subtil et le lourdingue pipi-caca et les situations cocasses sont toujours présentes, le background qui s'était complexifié à outrance dans les précédents tomes s'éclaircit dans cette fin d'aventure mais reste toujours guerrier voire très violent (meurtres gratuits).
Au final, le passage de Lanfeust dans la science-fiction, tant décrié, n'est pas si honteux que cela. le scénario est passablement compliqué en milieu de série mais l'inventivité et l'humour de Arleston permettent de faire passer la pilule plus facilement.
Passons à ce bestiaire qui termine l'intégrale. Mais qu'est-ce que c'est que cette chose ? 36 pages d'un cahier intitulé "Bestiaire du monde de Troy". Il aurait été intéressant s'il décrivait les nombreuses créatures rencontrées au cours des aventures de Lanfeust. Hélas, ce ne sont que des bébêtes inventées pour le bestiaire. Dommage, inutile et ma note baisse en conséquence.
C'est l'occasion pour notre héros Lanfeust, parti à la recherche de son fils Gun enlevé par Thanos, des dernières révélations, et surtout du rebondissement final incroyable à la fin du dernier tome. Il est toujours aussi paumé face aux événements et ne s'en sort que grâce à la présence du troll Hébus alias le Massacror.
Le dessin s'est (heureusement) amélioré par comparaison à la série précédente "Lanfeust de Troy", l'humour balance entre le subtil et le lourdingue pipi-caca et les situations cocasses sont toujours présentes, le background qui s'était complexifié à outrance dans les précédents tomes s'éclaircit dans cette fin d'aventure mais reste toujours guerrier voire très violent (meurtres gratuits).
Au final, le passage de Lanfeust dans la science-fiction, tant décrié, n'est pas si honteux que cela. le scénario est passablement compliqué en milieu de série mais l'inventivité et l'humour de Arleston permettent de faire passer la pilule plus facilement.
Passons à ce bestiaire qui termine l'intégrale. Mais qu'est-ce que c'est que cette chose ? 36 pages d'un cahier intitulé "Bestiaire du monde de Troy". Il aurait été intéressant s'il décrivait les nombreuses créatures rencontrées au cours des aventures de Lanfeust. Hélas, ce ne sont que des bébêtes inventées pour le bestiaire. Dommage, inutile et ma note baisse en conséquence.
