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Critique de CapitaineBapt


Tiens tiens, Princesse Sarah au pays des tueurs... Dire que cette jeune fille n'a pas de bol serait minimiser ce qui lui arrive. Toutes les deux pages, il lui arrive un incident. Alors je vous préviens tout de suite, pas un petit accrochage du genre je me suis retourné l'ongle ou je me suis étouffé avec une miette ce matin en prenant mon p'tit déj, non, là c'est du lourd, genre ses parents sont écorchés, démembrés, déchiquetés, assaisonnés, étripés... bref vous avez saisi le concept, par une bande de 8 affreux qui, à mon humble avis, ont de sérieux problèmes comportementaux. La nature ou la vie, ou les deux, n'ont peut-être pas été généreux avec eux mais une telle méchanceté, cela frise le zèle de la monstruosité. Difficile de faire plus méchant que ces méchants qui sont vraiment méchants. L'éducation est à reprendre de zéro, on efface tout et on recommence, je vois pas comment faire autrement, tellement cette troupe accumule les mauvais points. En psychanalyse, il faudrait remonter à la toute petite enfance pour tenter de déceler le fond du problème. Avec ces "écumeurs" y'en a pour des années de travail.

Que lui arrive-t-il ensuite, ah oui, elle tombe sur une île-couvent avec d'autres psychopathes (Desmonda, Calyxtelle et Limpide ; soit dit en passant avec de tels prénoms, les parents devraient être taxés sur la bêtise. Comment voulez-vous que ces chers bambins soient équilibrés avec des noms pareils), mais cette fois de son âge. Là on se dit, ouf un peu de répit pour notre héroïne qui va juste se crêper le chignon et se tirailler les cheveux. Que nenni, c'est l'enfer ! Surtout qu'elle se retrouve affublé d'un décalcomanie, appelé "La marque sombre" qui... ben qui fait une empreinte sur son corps. Non mais vous vous rendez compte, une tâche !!! Qui ne s'enlève même pas au lavage...

Bon j'arrête là, je vous laisse la surprise de la fuite du couvent, de son début de vengeance, des moyens limites de sa réalisation (torture, coupage de doigts) et retrouvailles miraculeuses.

Reste, et c'est ce qui sauve ce premier tome, un dessin maitrisé et accrocheur, où Floch donne la pleine maîtrise de son talent.

Saprotte, je n'ai pas aimé !
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