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Critique de AmandaM
une histoire vraiment sympa (dans le genre dark bien sûr). Je me suis très attachée aux personnages, à leur romance déchirante et sanglante, à leurs cerveaux torturés, et j'ai aimé la construction épistolaire + flash back. J'ai bien sûr sorti mon paquet de kleenex à la fin, ce qui m'arrive rarement, donc GG les filles!
Concernant la plume, c'est là tout le paradoxe, car si j'adore le style de Cécilia Armand, c'est aussi ce qui a coûté la dernière étoile. Je m'explique. le roman est écrit à 4 mains et je parierais bien, sur: un Isaïa/Cécilia et un Joshua/Marjorie (je me trompe?). En lisant les remerciements à la fin, on pourrait penser que j'ai visé juste, ce qui m'a fait sourire car pour avoir lu plusieurs titres de Cécilia, j'ai ressenti sa patte dans la voix de notre pianiste. Mais (car il y a toujours un mais), si le style est sublime, poétique, lyrique etc... il y a une sorte de surenchère qui alourdit le texte (surtout dans les chapitres de Joshua, mais pas que). L'excès n'est jamais bon et au final tue l'effet désiré. Un plat sans sel est fade, un plat trop salé est indigeste. Premier point. Ensuite, ces lourdeurs ont ralenti l'action, j'avais l'impression de faire du sur place, d'écouter en boucle un disque rayé... Beaucoup, beaucoup trop de redites. Enfin, le manuscrit n'est pas nickel. Beaucoup de fautes d'orthographe, grammaire et syntaxe hallucinantes. Certaines phrases ne veulent rien dire. Je suis étonnée que les éditions Black Ink ne soient pas un peu plus scrupuleuses.
Concernant la plume, c'est là tout le paradoxe, car si j'adore le style de Cécilia Armand, c'est aussi ce qui a coûté la dernière étoile. Je m'explique. le roman est écrit à 4 mains et je parierais bien, sur: un Isaïa/Cécilia et un Joshua/Marjorie (je me trompe?). En lisant les remerciements à la fin, on pourrait penser que j'ai visé juste, ce qui m'a fait sourire car pour avoir lu plusieurs titres de Cécilia, j'ai ressenti sa patte dans la voix de notre pianiste. Mais (car il y a toujours un mais), si le style est sublime, poétique, lyrique etc... il y a une sorte de surenchère qui alourdit le texte (surtout dans les chapitres de Joshua, mais pas que). L'excès n'est jamais bon et au final tue l'effet désiré. Un plat sans sel est fade, un plat trop salé est indigeste. Premier point. Ensuite, ces lourdeurs ont ralenti l'action, j'avais l'impression de faire du sur place, d'écouter en boucle un disque rayé... Beaucoup, beaucoup trop de redites. Enfin, le manuscrit n'est pas nickel. Beaucoup de fautes d'orthographe, grammaire et syntaxe hallucinantes. Certaines phrases ne veulent rien dire. Je suis étonnée que les éditions Black Ink ne soient pas un peu plus scrupuleuses.
