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Critique de ecceom
C'est la fin de Danse avec les Tsars
C'est sous une nouvelle couverture dans la collection "Caractère", que l'on retrouve la pauvre Sophaletta.
Nous sommes à Petrograd, en mars 1917. Nicolas Romanov a renoncé au pouvoir en faveur de son frère, le Grand-Duc Mikhaïl Alexandrovich Romanov. Ce dernier qui a peur d'en prendre plein les dents, a sagement renoncé à la couronne.
Pour Sophaletta, la situation ne s'améliore guère. Certes, Milko, son ami d'enfance devenu commissaire politique l'a sortie de prison et sa maison close fait le plein.
Pourtant, cette fois ci, ce ne sont pas les clients qui se bousculent, mais les familles de moujiks qui réquisitionnent l'immeuble.
Il est temps pour elle de gagner le nord de la Russie, pour tenter de fuir avec son amie Kitty, en Finlande.
Mais c'est compter sans leur ennemi acharné, Kostia Simonevitch, qui est toujours sur leurs talons.
L'association Arnoux au scénario, Hé au dessin et Chagnaud à la mise en couleurs, accouche à nouveau d'un bel album à qui la Révolution Russe fournit encore une belle -et pas si courante que ça, toile de fond.
C'est sous une nouvelle couverture dans la collection "Caractère", que l'on retrouve la pauvre Sophaletta.
Nous sommes à Petrograd, en mars 1917. Nicolas Romanov a renoncé au pouvoir en faveur de son frère, le Grand-Duc Mikhaïl Alexandrovich Romanov. Ce dernier qui a peur d'en prendre plein les dents, a sagement renoncé à la couronne.
Pour Sophaletta, la situation ne s'améliore guère. Certes, Milko, son ami d'enfance devenu commissaire politique l'a sortie de prison et sa maison close fait le plein.
Pourtant, cette fois ci, ce ne sont pas les clients qui se bousculent, mais les familles de moujiks qui réquisitionnent l'immeuble.
Il est temps pour elle de gagner le nord de la Russie, pour tenter de fuir avec son amie Kitty, en Finlande.
Mais c'est compter sans leur ennemi acharné, Kostia Simonevitch, qui est toujours sur leurs talons.
L'association Arnoux au scénario, Hé au dessin et Chagnaud à la mise en couleurs, accouche à nouveau d'un bel album à qui la Révolution Russe fournit encore une belle -et pas si courante que ça, toile de fond.
