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Critique de MissSherlock
Après Une étude en rouge, je me suis replongée dans la seconde enquête de Holmes et Watson : le signe des quatre.
Cette aventure n'est pas ma préférée car je trouve l'enquête un peu longuette et la vision de l'Inde et de ses habitants bourrée de clichés.
J'ai beau me dire que l'époque était marquée par une prédominance de l'homme Blanc et par une méconnaissance des réalités anthropologiques, je ne peux m'empêcher de m'offusquer devant la description des autochtones et plus particulièrement de Tonga, l'acolyte de Jonathan Small.
Je n'ai pas trouvé l'enquête des plus enthousiasmantes. Les déductions de Holmes ne m'ont pas parues si logiques et évidentes que ça. Et, même si Doyle ne commet pas la même erreur que dans Une étude en rouge en ne scindant pas son récit en deux, il y a tout de même quelque chose d'artificiel dans les aveux du criminel.
Aveux qui, du reste, semblent ne jamais devoir prendre fin.
Pourtant ce roman doit être lu par tous les amateurs de Holmes car il permet d'en savoir plus sur nos deux héros.
Holmes apparait comme un misogyne et un toxicomane à tendances bipolaires qui s'adonne à la cocaïne pour tromper l'ennui.
Face à lui, Watson se dévoile en homme sensible, cédant facilement aux charmes de l'amour et plein de bonté envers son prochain. Je me suis amusée à le voir tiraillé entre son devoir et sa passion et déclarer sa flamme à la jolie Mary alors qu'il ne la connaissait pas trois jours plus tôt !
A ce titre, notons que Doyle a rapidement marié le bon docteur puisque Watson convolera en juste noces après cette enquête et avant celle du Scandale en Bohême. Scandale qui permettra à Holmes de rencontrer La femme mais ça, c'est une autre histoire...
Cette aventure n'est pas ma préférée car je trouve l'enquête un peu longuette et la vision de l'Inde et de ses habitants bourrée de clichés.
J'ai beau me dire que l'époque était marquée par une prédominance de l'homme Blanc et par une méconnaissance des réalités anthropologiques, je ne peux m'empêcher de m'offusquer devant la description des autochtones et plus particulièrement de Tonga, l'acolyte de Jonathan Small.
Je n'ai pas trouvé l'enquête des plus enthousiasmantes. Les déductions de Holmes ne m'ont pas parues si logiques et évidentes que ça. Et, même si Doyle ne commet pas la même erreur que dans Une étude en rouge en ne scindant pas son récit en deux, il y a tout de même quelque chose d'artificiel dans les aveux du criminel.
Aveux qui, du reste, semblent ne jamais devoir prendre fin.
Pourtant ce roman doit être lu par tous les amateurs de Holmes car il permet d'en savoir plus sur nos deux héros.
Holmes apparait comme un misogyne et un toxicomane à tendances bipolaires qui s'adonne à la cocaïne pour tromper l'ennui.
Face à lui, Watson se dévoile en homme sensible, cédant facilement aux charmes de l'amour et plein de bonté envers son prochain. Je me suis amusée à le voir tiraillé entre son devoir et sa passion et déclarer sa flamme à la jolie Mary alors qu'il ne la connaissait pas trois jours plus tôt !
A ce titre, notons que Doyle a rapidement marié le bon docteur puisque Watson convolera en juste noces après cette enquête et avant celle du Scandale en Bohême. Scandale qui permettra à Holmes de rencontrer La femme mais ça, c'est une autre histoire...
