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Critique de Nathv
Je remercie Babelio - via sa Masse Critique - et les éditions le Courrier du Livre de m'avoir fait parvenir cet ouvrage. En le choisissant sur le site de Babelio, je n'avais que très peu d'idées quant au contenu de "C'est l'heure du bonheur" et c'est plutôt une bonne surprise.
A la base, je ne suis que très peu attirée par cette littérature de "développement personnel". J'en ai bien ouvert quelques-uns mais assez vite refermés, rarement terminés.
Celui-ci me parle bien plus, et ce pour deux raisons: premièrement, l'auteur nous entraîne dans une réflexion personnelle basée sur l'écriture (ce qui, en tant que lectrice, me parle et me touche) et, deuxièmement, Laure d'Astragal cite Leonardo Fibonaci - et sa suite de nombres - dans son avant-propos ce qui, en tant que cartésienne, m'a interpellée dans la présentation d'un livre plutôt psycho.
Cette suite de Fibonaci s'applique à la durée des différents chapitres, à savoir 1 jour pour le 1er, 2 jours pour le 3ème, 3 jours pour le 4ème, 5 jours pour le 5ème, 8 pour le 6ème, 13 pour le 7ème, etc.
Bref, il faut en théorie 142 jours pour terminer l'ouvrage et tous les exercices liés à celui-ci.
Autant vous dire qu'en 30 jours, je suis bien loin de l'avoir terminé mais me régale d'entamer chaque chapitre avec un gros carnet à mes côtés.
Un livre pour recentrer sa réflexion, s'octroyer du temps que ce soit par l'écriture, la méditation ou des exercices pratiques.
J'ignore, pour le moment, si le bonheur est au bout du livre de Laure d'Astragal et de mon précieux carnet manuscrit mais reste persuadée qu "Il n'y a pas de chemin vers le bonheur; le bonheur, c'est le chemin " (Lao Tseu).
Lien : https://letempslibredenath.w..
A la base, je ne suis que très peu attirée par cette littérature de "développement personnel". J'en ai bien ouvert quelques-uns mais assez vite refermés, rarement terminés.
Celui-ci me parle bien plus, et ce pour deux raisons: premièrement, l'auteur nous entraîne dans une réflexion personnelle basée sur l'écriture (ce qui, en tant que lectrice, me parle et me touche) et, deuxièmement, Laure d'Astragal cite Leonardo Fibonaci - et sa suite de nombres - dans son avant-propos ce qui, en tant que cartésienne, m'a interpellée dans la présentation d'un livre plutôt psycho.
Cette suite de Fibonaci s'applique à la durée des différents chapitres, à savoir 1 jour pour le 1er, 2 jours pour le 3ème, 3 jours pour le 4ème, 5 jours pour le 5ème, 8 pour le 6ème, 13 pour le 7ème, etc.
Bref, il faut en théorie 142 jours pour terminer l'ouvrage et tous les exercices liés à celui-ci.
Autant vous dire qu'en 30 jours, je suis bien loin de l'avoir terminé mais me régale d'entamer chaque chapitre avec un gros carnet à mes côtés.
Un livre pour recentrer sa réflexion, s'octroyer du temps que ce soit par l'écriture, la méditation ou des exercices pratiques.
J'ignore, pour le moment, si le bonheur est au bout du livre de Laure d'Astragal et de mon précieux carnet manuscrit mais reste persuadée qu "Il n'y a pas de chemin vers le bonheur; le bonheur, c'est le chemin " (Lao Tseu).
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