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Critique de Philemont


Dans La voie des chimères, Théodora poursuit sa lutte contre l'Armée de l'Obscur. Mais cette fois-ci elle n'est plus seule puisque physiquement accompagnée d'Owen, l'un de ses colistiers dans le jeu Barbarian Killers.
Jeune aborigène australien adopté par une famille blanche, Owen se veut même le personnage principal du roman. Brigitte AUBERT et Gisèle CAVALI évoquent donc la condition de ce peuple dont on a voulu arracher les racines, avant de se rétracter seulement récemment. Mais le mal est fait et Owen est en quête de son identité. Il va trouver la Voie grâce à sa position par rapport aux Barbarians.
A l'instar de la culture celte dans le règne de la barbarie, les deux auteures s'intéressent abondamment à la culture aborigène, notamment à leurs rites chamaniques. Elles le font d'ailleurs très sérieusement, ce qui leur fait prendre le contrepied d'une intrigue convenue.
Quant à la forme que prend le roman, elle est identique à celle adoptée dans le précédent tome. Il s'agit d'un style narratif sur un rythme soutenu qui devrait convenir aux lecteurs les plus jeunes. Les autres, plus âgés, ne devraient pas être insensibles aux thèmes développés, d'autant qu'ils ne sont pas forcément bien connus des lecteurs français.
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