Voici le “passage à confesse” d'un honnête homme, tel qu'on les appelait au siècle des lumières. Sa modestie n'a d'égal que la profondeur de ses connaissances et l'éventail des sujets abordés. En filigrane, on devine combien il est difficile par les temps qui courent (c'était moins le cas au début de sa carrière quand l'université était noyautée par la doxa communiste) de traiter de sujets qui ne sont pas dans la ligne du parti du Monde et des autres épiceries de la “pensée comme il faut”. Libre à chacun de ne pas partager tous ses points de vue, son texte laisse penser que l'auteur s'en réjouirait !
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