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Critique de Roberte53
Sylvain Audureau nous parle d'un autre déracinement, celui des pêcheurs italiens acculés à l'exil, dans l'obligation de quitter l'Algérie, leur pays d'accueil et d'abandonner une activité lucrative doublée d'une existence avantageuse, perdant ainsi tous les bienfaits acquis au fil du temps par leurs ancêtres et transmis de génération en génération.
Par le biais de cette nouvelle, transparaît toute la souffrance d'Ivo qui entre toutefois en résistance, mettant un point d'honneur à braver les interdits que lui impose la nouvelle législation suite à l'indépendance de l'Algérie.
Vingt ans plus tard, les souvenirs de cette légende familiale sont toujours présents et, chaque matin, le regard d'Ivo contemple l'horizon lointain, laissant naviguer son esprit vers les rivages oranais qui ont bercé une partie de son existence !
Par le biais de cette nouvelle, transparaît toute la souffrance d'Ivo qui entre toutefois en résistance, mettant un point d'honneur à braver les interdits que lui impose la nouvelle législation suite à l'indépendance de l'Algérie.
Vingt ans plus tard, les souvenirs de cette légende familiale sont toujours présents et, chaque matin, le regard d'Ivo contemple l'horizon lointain, laissant naviguer son esprit vers les rivages oranais qui ont bercé une partie de son existence !
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