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Critique de Luniver
Dans ce second volume, les dieux sont toujours bannis sur terre, vivotant sous la forme d'avatars, tant que les Tablettes du Destin ne seront pas rendues à Ao. le petit groupe d'aventuriers se met en quête de la première de ces Tablettes, cachée dans la ville de Tantras. Leur cohésion sera souvent mise à mal, chaque membre étant tour à tour tenté de trahir le groupe pour obtenir ce qu'il désire le plus au monde.
Ce deuxième tome est dans la lignée du premier, avec les mêmes qualités et les mêmes défauts : l'univers est toujours fidèle à Donjons et dragons, et le rôle des dieux, sans cesse à la recherche de fidèles pour accroître leur puissance, est assez intéressant. L'écriture est un peu faible par moment, notamment les trahisons de serments : dix minutes après un pacte avec un dieu, le protagoniste se dit finalement qu'il n'a plus envie, et rejoint son groupe d'origine qui l'accueille sans suspicion aucune. Mouais.
L'impression générale cependant reste bonne, et je terminerai la trilogie sans hésitation.
Ce deuxième tome est dans la lignée du premier, avec les mêmes qualités et les mêmes défauts : l'univers est toujours fidèle à Donjons et dragons, et le rôle des dieux, sans cesse à la recherche de fidèles pour accroître leur puissance, est assez intéressant. L'écriture est un peu faible par moment, notamment les trahisons de serments : dix minutes après un pacte avec un dieu, le protagoniste se dit finalement qu'il n'a plus envie, et rejoint son groupe d'origine qui l'accueille sans suspicion aucune. Mouais.
L'impression générale cependant reste bonne, et je terminerai la trilogie sans hésitation.
