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Critique de taipo
MARIE DES ANGES DE FRAN AYANES éditions Edilivre
Comme la vie était rude dans cette Espagne Franquiste. Dans ce petit roman, nous voilà projetés dans la vie quotidienne d'une famille d'après la guerre civile. La pauvreté forme le tableau de fond, les sentiments ne sont pas exprimés, seule la valeur travail prévaut. Marie qui est déjà mère de quatre enfants vit chez ses beaux parents et va mettre au monde la petite Antonia. Il n'y a qu'Ana sa jeune belle-soeur qui l'aide dans ses taches quotidiennes et qui lui apporte un peu de chaleur. C'est vers la France que Marie, comme bien des familles espagnoles à cette époque, ira chercher une vie meilleure en compagnie de son mari et des ses enfants.
Est-ce un roman, est-ce une histoire ? Fran Ayanes nous transmet un témoignage, une image d'un temps passé, pas si ancien, où les conditions de vie étaient difficiles, les moeurs terrifiantes. C'est surtout la condition de la femme qui nous ramène à une réalité que l'on ne souhaiterait pas revivre. Marie est courageuse, travailleuse, elle accepte avec humilité voire avec soumission sa condition et les aléas de la vie en espérant le meilleur pour ses enfants. Les grossesses se succèdent comme une fatalité. Merci pour ce témoignage.
Comme la vie était rude dans cette Espagne Franquiste. Dans ce petit roman, nous voilà projetés dans la vie quotidienne d'une famille d'après la guerre civile. La pauvreté forme le tableau de fond, les sentiments ne sont pas exprimés, seule la valeur travail prévaut. Marie qui est déjà mère de quatre enfants vit chez ses beaux parents et va mettre au monde la petite Antonia. Il n'y a qu'Ana sa jeune belle-soeur qui l'aide dans ses taches quotidiennes et qui lui apporte un peu de chaleur. C'est vers la France que Marie, comme bien des familles espagnoles à cette époque, ira chercher une vie meilleure en compagnie de son mari et des ses enfants.
Est-ce un roman, est-ce une histoire ? Fran Ayanes nous transmet un témoignage, une image d'un temps passé, pas si ancien, où les conditions de vie étaient difficiles, les moeurs terrifiantes. C'est surtout la condition de la femme qui nous ramène à une réalité que l'on ne souhaiterait pas revivre. Marie est courageuse, travailleuse, elle accepte avec humilité voire avec soumission sa condition et les aléas de la vie en espérant le meilleur pour ses enfants. Les grossesses se succèdent comme une fatalité. Merci pour ce témoignage.
