Et bien non, je n'ai pas aimé
Eugénie Grandet...Encore un des romans obligatoires de l'époque...Ce roman parallélement, m'a toujours pensé à une chanson de Louise attaque : Léa.
Balzac nous promène assez bien sur le physique d'Eugénie alors qu'en résumé : elle est quelconque et sera abandonnée comme une vieille chaussette par son cousin. Qui sera le seul amour de sa vie (dont on présume). Pauvre Eugénie, une petite provinciale qui est en émoi devant un gars de sa famille. Mais bon,
Balzac ne l'avait gâté non plus avec un physique ingrat ou presque devant un don juan.
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