Sûrement une pièce de théâtre livrée pour satisfaire des créanciers de la part
De Balzac, qui est meilleur romancier que dramaturge. En tout cas, il parle de quelque chose qu'il connaît, lui qui toute sa vie a croulé sous le poids des dettes et n'a cessé de manigancer pour leur échapper. Tout cela, je le sais grâce à la très bonne biographie
De Balzac par
S. Zweig.
Cette pièce est du vaudeville, avec domestiques médisants, personnage de la mère inutile, jeune fille qui ne compte que pour son amour, et un manipulateur qui parvient à embrouiller tout le monde - même si lui aussi semble un moment se faire avoir. Sauf que pour une comédie, je n'ai pas ri à la lecture, peut-être que sur scène le rythme enlevé peut être plus efficace. Mais tout finit bien, trop bien, le menteur est finalement récompensé, lui qui attendait tellement Godeau...
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