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Critique de Davalian


Pour ce deuxième volume de l'intégrale consacrée à Carl Barks, les éditions Glénat nous proposent un volume d'un peu moins de quatre cents pages. Comme précédemment, le travail d'édition est soigné : couverture en carton souple, marque-page, papier de qualité, quelques suppléments placés en début de volume et fiches de présentation de certains personnages en conclusion.

Les récits proposés sont assez nombreux et piochent surtout du côté de l'humour. Plusieurs histoires assez courtes viendront vous redonner le sourire. Quelques gags plus courts tiendront en une ou deux planches.
Plusieurs histoires proposées ici se retrouvent dans le volume consacré à Balthazar Picsou… il faut dire que celui-ci est assez présent dans l'album : le voilà contraint de devoir défendre à plusieurs reprises son argent contre le Rapetou, bien décidés à se jouer de son coffre. Pour cela, Donald et ses neveux participeront à une nouvelle définition de l'argent liquide. Les récits humoristiques impliqueront souvent des leçons de morale, liées notamment à la valeur de l'argent ou de travail.

Quelques récits d'aventure viendront également se rajouter. Dès le début de l'album, Donald et ses neveux se retrouvent dans une Californie fantasmée du XIXème siècle, devront partir à la recherche d'un mystérieux casque d'or qui est lié au destin de l'Amérique du Nord, sans oublier une reconversion professionnelle qui engendrera une drôle d'aventure.

Outre Picsou, les neveux, les Castors Junior, Gontran et Daisy, plusieurs personnages secondaires feront leur apparition. Mais pour l'instant, la famille Duck est plutôt limitée à sa plus simple expression. Contrairement à ce qu'annonce la première de couverture, Géo Trouvetou et Grand'mère Elvire ne sont pas encore de la partie. D'ailleurs, chose assez surprenante, Riri, Fifi et Loulou oscillent ici entre modèle de vertu et petits chenapans particulièrement (mal) inspirés.

Ce deuxième volume est donc une belle réussite, même si elle a déjà un petit côté de déjà-vu. Il n'empêche que nous pouvons ici mettre les yeux sur plusieurs récits d'analogie qui inspireront un certain Don Rosa !
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