Peu coutumier de l'histoire portugaise, j'ai pris un plaisir doux à lire ce très bel album !
Il règne une certaine nonchalance … Fernando marche… beaucoup… il fait chaud, les couleurs très réussies nous offrent toute la palette de l'été …. Je vois déjà le film (Benicio del Toro pour Fernando bien sûr)… la musique évidemment aura toute sa place, le fado règnera…. Mélancolie, douceur, regret, renoncement mais aussi espoir d'une autre vie….
Barral (que je connaissais dans Nestor Burma) signe là un album magistral, intime…. Et universel !
Qui veut danser ?
Merci à Dargaud et Netgalley !
Commenter  J’apprécie         40