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Critique de christinebeausson


Les tempêtes sévissent Patricia puis voilà Antoni …
Il pleut, il vente dans le nord de la France …
Envie d'un peu de soleil et de chaleur …
Direction le Portugal !

Il y a bien de tout ça mais nous sommes en 1968 …
Le Portugal est muselé par un dictateur …
Salazar s'appelait il …
Un « vieux monsieur de Lisbonne, au visage fin et aux cheveux blancs, courtois et coupant de manières, avec son élégance passée de mode, ses costumes stricts et ses bottines » …
Celui qui a dit " Gouverner, voyez-vous, c'est protéger les gens contre eux-mêmes " …
La bonne nouvelle est qu'il est tombé de sa chaise et ne s'est jamais relevé !

Le scénario nous balade dans l'histoire de la lutte contre la dictature, ne fait que de petites allusions au passé colonial du pays qui a entraîné pourtant une forte émigration pour éviter de mourrir.
Les dessins sont très colorés mais restent souvent sombres comme ces années où il fallait faire attention à ce qu'on disait, à ce qu'on faisait, toujours à la merci des oreilles qui traînent.
Une belle découverte où l'auteur n'oublie pas de citer l'autre roman graphique majeur sur cette période « Périra prétend ».
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