Berdjouhi, jeune femme qui a vu partir son mari lors de la rafle des intellectuels arméniens d'Istanbul le 24 avril 1915, ignorante du sort de celui-ci, lutte pour sa propre survie et celle de son fils. Elle aide aussi courageusement ses amies à sauver de jeunes enfants enlevés pour être élevés par des familles turques.
Ce témoignage est tout-à-fait émouvant.
Cependant, à cette époque, j'ai eu l'impression que les femmes dont il est question dans ce livre ne peuvent exister que par leur mari, leur fiancé (ou son fils pour la plus âgée), qu'elles n'agissent qu'en pensant à eux, pour être digne d'eux.
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