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Critique de mayim
Ce premier tome d'une série est un cosy mystery agréable mais loin d'être renversant. Il est plein de bonnes idées mais elles ne sont pas vraiment exploitées. J'ai trouvé bien dommage que l'hôtel Savoy ne soit qu'un prétexte, sans être un personnage en soi dans le récit. de même pour le contexte des années 60 à Londres. L'histoire pourrait se passer ailleurs et à un autre moment, on ne verrait pas la différence.
L'enquête principale est rocambolesque. On ne s'ennuie pas mais ce n'est pas crédible du tout. Les actions s'enchaînent, les enjeux se passent à un niveau international concernant le crime organisé et l'espionnage mais c'est Priscilla, la jeune attachée de presse du Savoy, qui enquête… Elle est plutôt sympathique mais son personnage n'est pas creusé non plus. On ne sait rien de son travail réel à l'hôtel et sa psychologie est plus que sommaire : elle passe d'un meurtre à une coupe de champagne sans transition.
Alors il faut bien remplir les pages. Pour cela, il y a une galerie de personnages, célèbres ou non, qui fréquentent l'hôtel et des intrigues secondaires plus ou moins intéressantes ou drôles. le personnage qui m'a plu est celui de la belle-mère américaine du directeur de l'hôtel, en aristocrate excentrique et rebelle. Mais tout cela reste très superficiel.
J'ai surtout fini par être agacée par les remarques permanentes sur le physique des personnages et le retour répétitif de certaines situations : Priscilla va-t-elle ou non embrasser cet homme ? Va-t-elle être virée ?...
Je ne suis donc pas vraiment convaincue par ce roman qui a du potentiel mais ne m'a pas semblé abouti. Je laisserai malgré tout une deuxième chance à cette série avec le tome suivant.
L'enquête principale est rocambolesque. On ne s'ennuie pas mais ce n'est pas crédible du tout. Les actions s'enchaînent, les enjeux se passent à un niveau international concernant le crime organisé et l'espionnage mais c'est Priscilla, la jeune attachée de presse du Savoy, qui enquête… Elle est plutôt sympathique mais son personnage n'est pas creusé non plus. On ne sait rien de son travail réel à l'hôtel et sa psychologie est plus que sommaire : elle passe d'un meurtre à une coupe de champagne sans transition.
Alors il faut bien remplir les pages. Pour cela, il y a une galerie de personnages, célèbres ou non, qui fréquentent l'hôtel et des intrigues secondaires plus ou moins intéressantes ou drôles. le personnage qui m'a plu est celui de la belle-mère américaine du directeur de l'hôtel, en aristocrate excentrique et rebelle. Mais tout cela reste très superficiel.
J'ai surtout fini par être agacée par les remarques permanentes sur le physique des personnages et le retour répétitif de certaines situations : Priscilla va-t-elle ou non embrasser cet homme ? Va-t-elle être virée ?...
Je ne suis donc pas vraiment convaincue par ce roman qui a du potentiel mais ne m'a pas semblé abouti. Je laisserai malgré tout une deuxième chance à cette série avec le tome suivant.
