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Critique de jcjc352
Une première de couverture assez bizarroïde avec la tête de Jacques Dutronc vieillissant les Ray ban, sans le cigare mais avec la pipe (tête de comanche ou tête de taureau on voit pas ) avec une tignasse, qui vue dans la glace fait un peu moumoute, postiche viril sans doute. ça fait vieille canaille emperruquée aux vieilles charrues mais pas vieille gouape anar comme Guy Marchand avec sa frimousse parigote.
Sans parler de la pomme sur le livre qui donne un petit coté pictural « vanité »: il ne manque plus que le pétard ou le « miroir de sorcière » style Jan van Eyck dans le tableau « Les Époux Arnoldfini »( à condition d'y ajouter, à droite, Hélène Chatelain enceinte tenue pas la main). Bon passons !
(note itou : page 8 portrait de Nestor avec une tête de Frankenstein et sa pipe tête de taureau )
Y'a pas grand-chose à dire alors...
L'auteur , aidé en cela par 6 collaborateurs quand même, nous conte Burma à qui il alloue un copain : le Malet. On n'en voit pas la nécessité car ce drôle de procédé entretien une certaine confusion mais n'en dit pas plus sur le créateur et sa créature . Confusion avec les faits historiques littéraires et au sens large culturels et faits divers sociaux notamment les affaires d'homicides, banditisme, d'escroquerie et autres.
Le corps de l'ouvrage ( gardons les termes policiers) consiste à un résumé assez détaillé de chaque histoire de Burma avec quelques apartés et c'est assez pénible car il vaut mieux lire les quatrièmes de couverture des bouquins bien plus mystérieuses et on se demande si ce n'est pas une réécriture qui ne porte pas son nom
Pour le reste on a droit a petit rappel continu et succin de l'histoire du moment, de l'état de la concurrence littéraire, la noire surtout, française ou étrangère le tout agrémenté d'affiches cinématographiques avec les beaux regards ténébreux de Michelle et Jean (sans Arletty) et affichette de « réclame » comme « razvite » ou celle plus actuelle comme « entremets FRANCORUSSE »légers pour les foies les plus délicats (on ne connaissait pas encore « Satan », affichette de couvertures de livres, tous éditeurs confondus, sympa.
Puis rebelote chronologie historique, politique, faits divers, parutions de Malet, des concurrents, bons mots de Nestor, citation sur des artistes féminines et pin-up célèbres , Yul Brunner compris, petite études sur les privés concurrents etc.
En fait le bouquin aurait pu s'intituler le «big sleep » comme celui de Chandler
C'est une conclusion quelque peu abrupte on a hâte de tourner la page mais la sympathie pour Nestor reste intacte. Certains louangeurs feraient mieux de se taire
(note : on apprend que le petit Séchan Renaud a joué dans le ballon rouge en 1956 voilà ce que c'est de laisser les titis se balader à Ménilmontant : courir après un ballon de rouge ça fait plus tard des anars de l'intelligentsia parigote alcoolos à col rouge)
Sans parler de la pomme sur le livre qui donne un petit coté pictural « vanité »: il ne manque plus que le pétard ou le « miroir de sorcière » style Jan van Eyck dans le tableau « Les Époux Arnoldfini »( à condition d'y ajouter, à droite, Hélène Chatelain enceinte tenue pas la main). Bon passons !
(note itou : page 8 portrait de Nestor avec une tête de Frankenstein et sa pipe tête de taureau )
Y'a pas grand-chose à dire alors...
L'auteur , aidé en cela par 6 collaborateurs quand même, nous conte Burma à qui il alloue un copain : le Malet. On n'en voit pas la nécessité car ce drôle de procédé entretien une certaine confusion mais n'en dit pas plus sur le créateur et sa créature . Confusion avec les faits historiques littéraires et au sens large culturels et faits divers sociaux notamment les affaires d'homicides, banditisme, d'escroquerie et autres.
Le corps de l'ouvrage ( gardons les termes policiers) consiste à un résumé assez détaillé de chaque histoire de Burma avec quelques apartés et c'est assez pénible car il vaut mieux lire les quatrièmes de couverture des bouquins bien plus mystérieuses et on se demande si ce n'est pas une réécriture qui ne porte pas son nom
Pour le reste on a droit a petit rappel continu et succin de l'histoire du moment, de l'état de la concurrence littéraire, la noire surtout, française ou étrangère le tout agrémenté d'affiches cinématographiques avec les beaux regards ténébreux de Michelle et Jean (sans Arletty) et affichette de « réclame » comme « razvite » ou celle plus actuelle comme « entremets FRANCORUSSE »légers pour les foies les plus délicats (on ne connaissait pas encore « Satan », affichette de couvertures de livres, tous éditeurs confondus, sympa.
Puis rebelote chronologie historique, politique, faits divers, parutions de Malet, des concurrents, bons mots de Nestor, citation sur des artistes féminines et pin-up célèbres , Yul Brunner compris, petite études sur les privés concurrents etc.
En fait le bouquin aurait pu s'intituler le «big sleep » comme celui de Chandler
C'est une conclusion quelque peu abrupte on a hâte de tourner la page mais la sympathie pour Nestor reste intacte. Certains louangeurs feraient mieux de se taire
(note : on apprend que le petit Séchan Renaud a joué dans le ballon rouge en 1956 voilà ce que c'est de laisser les titis se balader à Ménilmontant : courir après un ballon de rouge ça fait plus tard des anars de l'intelligentsia parigote alcoolos à col rouge)
