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Critique de VirginieCM


Dans la première nouvelle de ce troisième tome, les parents pauvres n'ont plus d'argent. En effet, Sir Philip a perdu l'argent de l'hôtel à la suite d'un pari malheureux aux courses. Il s'agit donc de recouvrer les impayés des clients indélicats, et cette fois, c'est le colonel Sandhurst qui s'y colle : envoyé chez Sir Randolph, il tombe nez à nez avec la fille de ce dernier, qui fugue pour échapper à un mariage arrangé. C'est décidé : celle-ci vient vivre à l'hôtel, cependant que les propriétaires l'aident tout en se livrant au chantage pour récupérer l'argent. Mais tout ne va pas se dérouler exactement comme prévu…
Pour la deuxième nouvelle, voilà qu'il est aussi question de mariage arrangé, de père à l'autorité abusive. Lady Jane s'est enfuie, et a l'intention de mettre fin à ses jours. Et dans la chambre qu'elle vient de louer au « Parent Pauvre ». Mais c'est sans compter la perspicacité de ses propriétaires, qui l'en empêchent et se proposent de l'aider. Grâce à lady Harriet, l'une d'entre eux, désormais duchesse, et qui présentera lady Jane lors de la saison…
Voilà donc le final des chroniques de Bond Street, et c'est à regret que je me sépare des parents pauvres, que j'ai beaucoup appréciés. Certes, les intrigues, là aussi, sont cousues de fil blanc, mais c'est du pur « feel good », et la mission est parfaitement remplie : c'est mignon, les personnages sont toujours aussi sympathiques (ou pas… mais on aime quand même Sir Philip !!!), et c'est drôle…
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