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Critique de umezzu
Une BD axée sur le monde de la mode, à la manière de Château Bordeaux ou des Maîtres de l'orge (enfin... très lointainement pour ce qui est de la deuxième référence).
Ingrédients habituels : un patrimoine familial (ici une maison de couture), un vieux patriarche qui a fondé la boutique et qui disparait (assassiné, c'est toujours mieux), la nouvelle génération qui arrive avec ses idées neuves... Pour la prochaine série utilisant ce canevas, je propose les Sanzot, bouchers de pères en fils, ça plaira à Moulinsart...
Pour le reste, il y a la vieille peau qui a épousé en dernière noce le riche proprio et qui veut tout accaparer, son beau-fils beau-gosse et qu'on imagine moins fute-fute qu'il ne l'est en fait, l'inévitable conseiller de l'ombre, fidèle d'entre les fidèles. Les auteurs ont rajouté un personnage qui tient de Anna Wintour, version le diable s'habille en Prada, et une jeune mannequin russe.
Ce n'est pas franchement mauvais, même si les dessins sont faiblards, mais cela reste très limité côté intrigue.
Ingrédients habituels : un patrimoine familial (ici une maison de couture), un vieux patriarche qui a fondé la boutique et qui disparait (assassiné, c'est toujours mieux), la nouvelle génération qui arrive avec ses idées neuves... Pour la prochaine série utilisant ce canevas, je propose les Sanzot, bouchers de pères en fils, ça plaira à Moulinsart...
Pour le reste, il y a la vieille peau qui a épousé en dernière noce le riche proprio et qui veut tout accaparer, son beau-fils beau-gosse et qu'on imagine moins fute-fute qu'il ne l'est en fait, l'inévitable conseiller de l'ombre, fidèle d'entre les fidèles. Les auteurs ont rajouté un personnage qui tient de Anna Wintour, version le diable s'habille en Prada, et une jeune mannequin russe.
Ce n'est pas franchement mauvais, même si les dessins sont faiblards, mais cela reste très limité côté intrigue.
