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Critique de marilyngillaizeau
L'écriture : une tendance actuelle télévisuelle. Cherchez l'erreur.
Toutes mes lectures ne sont pas du même acabit. Si lire est avant tout un divertissement comme un autre (au sens de sortir de ses occupations, voire s'évader pour certains), il n'est pas toujours synonyme d'enrichissement.
J'ai terminé la lecture du tome II de la saga Boston Family satisfaite pour ce que j'en attendais : Manuel Bénétreau tient son lecteur avec la même aisance, ici avec l'histoire de l'Amérique jusque dans les années 60-70 à travers l'enfance de son protagoniste, puis comme jeune actif et adulte sur fond du rêve américain, pimenté par le fait qu'être un enfant de riche n'est pas si heureux qu'on pourrait le croire, et autres faits (le Vietnam, la Nasa et la lune).
Je formule néanmoins le regret qu'il n'y ait que de l'action en ligne et un trop léger survol des points les plus intéressants.
Tirer une citation dans ce genre d'ouvrage n'est pas facile. Sur les deux tomes lus, il est néanmoins un passage qui mérite d'être cité, (le seul qui m'ait vraiment touchée) :
« […] Vous aviez trouvé une solution qu'ils avaient cherché toutes leurs vies.
– Quelle solution ?
– La solution pour être libre
– Libre ? Que voulez-vous dire ?
– Vous avez toujours pris vos décisions sans regarder derrière. Sans avoir peur de perdre quoi que ce soit. Vous ne vous êtes jamais attachés à ce qui fait marcher le monde. le luxe, le confort, la richesse, toutes ces choses qui font courir les gens. Vous n'aviez que faire de savoir ce que l'on pensait de vous. Avec Elie, vous avez fait comme vous vouliez. La vanité dont vous m'avez parlé était égale à zéro. Vous vous êtes toujours foutu de tout. Sauf d'une chose. Votre famille et les gens que vous aimiez. Si quelque chose vous manquait, c'est comme s'il n'existait pas. Et vous faisiez autrement. Vous n'avez jamais accepté les contraintes. C'est cette liberté qu'ils avaient identifiée.
– C'est très gentil de me dire ça. Je crois effectivement que ça me ressemble. […] »
Il n'est pas dit que je ne lirai pas à l'occasion le tome 3. Détente assurée entre deux lectures plus complexes, habituellement mes tasses de thé.
Toutes mes lectures ne sont pas du même acabit. Si lire est avant tout un divertissement comme un autre (au sens de sortir de ses occupations, voire s'évader pour certains), il n'est pas toujours synonyme d'enrichissement.
J'ai terminé la lecture du tome II de la saga Boston Family satisfaite pour ce que j'en attendais : Manuel Bénétreau tient son lecteur avec la même aisance, ici avec l'histoire de l'Amérique jusque dans les années 60-70 à travers l'enfance de son protagoniste, puis comme jeune actif et adulte sur fond du rêve américain, pimenté par le fait qu'être un enfant de riche n'est pas si heureux qu'on pourrait le croire, et autres faits (le Vietnam, la Nasa et la lune).
Je formule néanmoins le regret qu'il n'y ait que de l'action en ligne et un trop léger survol des points les plus intéressants.
Tirer une citation dans ce genre d'ouvrage n'est pas facile. Sur les deux tomes lus, il est néanmoins un passage qui mérite d'être cité, (le seul qui m'ait vraiment touchée) :
« […] Vous aviez trouvé une solution qu'ils avaient cherché toutes leurs vies.
– Quelle solution ?
– La solution pour être libre
– Libre ? Que voulez-vous dire ?
– Vous avez toujours pris vos décisions sans regarder derrière. Sans avoir peur de perdre quoi que ce soit. Vous ne vous êtes jamais attachés à ce qui fait marcher le monde. le luxe, le confort, la richesse, toutes ces choses qui font courir les gens. Vous n'aviez que faire de savoir ce que l'on pensait de vous. Avec Elie, vous avez fait comme vous vouliez. La vanité dont vous m'avez parlé était égale à zéro. Vous vous êtes toujours foutu de tout. Sauf d'une chose. Votre famille et les gens que vous aimiez. Si quelque chose vous manquait, c'est comme s'il n'existait pas. Et vous faisiez autrement. Vous n'avez jamais accepté les contraintes. C'est cette liberté qu'ils avaient identifiée.
– C'est très gentil de me dire ça. Je crois effectivement que ça me ressemble. […] »
Il n'est pas dit que je ne lirai pas à l'occasion le tome 3. Détente assurée entre deux lectures plus complexes, habituellement mes tasses de thé.
