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Critique de clodermer
Ce livre nous propose un voyage à travers l'Europe occidentale, d'Anvers à Venise, en suivant, aujourd'hui, la route empruntée par Pieter Bruegel au milieu du XVIème siècle.
Le récit en est assez décousu et surprenant. L'auteur, à certains moments, dialogue avec Bruegel. Ces échanges sont souvent intéressants, parfois curieux, souvent critiques sur le mode de vie de notre époque.
Il visite un grand nombre de musées, donnant grandement l'envie d'aller admirer certaines oeuvres qui y sont exposées.
Il voyage en train, en voiture, à pied, racontant par petites touches ses rencontres, ses révoltes, ses envies, ses coups de coeur selon l'endroit et l'humeur.
C'est souvent intéressant, pertinent, parfois moins. Les illustrations de la main de Jean-Michel Bénier, en noir et blanc, donnent une vague idée de ce qu'elles pourraient donner en couleur : elles doivent être jolies.
Bref, beaucoup d'intérêt pour ce livre mais je reste un peu sur ma faim.
Le récit en est assez décousu et surprenant. L'auteur, à certains moments, dialogue avec Bruegel. Ces échanges sont souvent intéressants, parfois curieux, souvent critiques sur le mode de vie de notre époque.
Il visite un grand nombre de musées, donnant grandement l'envie d'aller admirer certaines oeuvres qui y sont exposées.
Il voyage en train, en voiture, à pied, racontant par petites touches ses rencontres, ses révoltes, ses envies, ses coups de coeur selon l'endroit et l'humeur.
C'est souvent intéressant, pertinent, parfois moins. Les illustrations de la main de Jean-Michel Bénier, en noir et blanc, donnent une vague idée de ce qu'elles pourraient donner en couleur : elles doivent être jolies.
Bref, beaucoup d'intérêt pour ce livre mais je reste un peu sur ma faim.
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