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Critique de Cirny


Un tissu de contre-vérités entre-coupé d'insultes à l'adresse des enseignants et des chercheurs. Aucune référence scientifique, uniquement des assertions très personnelles assénées sans aucune base.

Des confusions, des imprécisions, des redondances, parfois des phrases répétées quasiment à l'identique au début du livre et à la fi, par exemple "Reclus dans un entre-soi délétère, (ils) n'ont connu que promiscuité, banalité et indifférence ; leur horizon de parole limité a réduit leur vocabulaire et brouillé leur organisation grammaticale", phrase donnée page 146 et à nouveau page 162. Des fois qu'on n'avait pas compris qu'il n'aime pas les milieux populaires et qu'il considère cela comme une pathologie...

... On ne sait pas quoi être en avant, tellement il y a d'erreurs et malveillances.

Le pire c'est son mépris pour les classes populaires, contrairement à ce qu'il prétend.

Tout ce qu'il peut déverser !
Par exemple : "Si un enfant ne s'adresse qu'au petit cercle de ceux qui lui ressemblent, qui ont les mêmes références culturelles, qui appartiennent au même milieu social, cela « ira sans dire ». Il n'aura pas besoin de mettre en mots précis et soigneusement organisés sa pensée" (page 39, presque la même chose page 149)

Il fait comme si cela ne concernait que les enfants des classes populaires! Mais l'immense majorité des enfants s'adressent uniquement au petit cercle qui lui ressemble, à ses proches, les enfants pauvres ou riches sont socialisés par leur milieu. Pourquoi ce serait un problème ontologique seulement pour les classes populaires ?

Un condensé de mauvaise foi sur un ton péremptoire.
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