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Critique de Masa


Je me suis trouver régulièrement devant cette série d'anticipation proposé par Fleuve noir. J'ai longtemps hésiter à me procurer un de ces romans dont ces auteurs me sont inconnu. C'est un fait, on a peur de l'inconnu. C'est beaucoup plus simple de trouver refuge vers des auteurs que l'on connaît. Il faudra un jour que je me penche d'avantage sur ces éditions. Peut-être passe-je à côté de quelque chose. Comme un liseron est un roman français (Cocorico) qui fut parut en 1976.

Il y a ceux qui vivent dans cette grande ville, on les appels les nantis. Et il y a ceux qui vivent dans la forêt, on les surnomment les errants. Ces deux peuples se chassent mutuellement. Pourtant, dans la grande ville un quartier est isolé, délaissé par les nantis, ce sont les gueux. À en croire la légende, un homme aurait été capable de s'introduire dans la tête d'un autre et, par la force de la pensée, tel un liseron sur une plante hôte, de la tordre jusqu'à ce qu'ils meurent. le problème, est que cet alsacien est mort gardant son secret et, ceux qui ont essayés meurent en essayant cette technique.

Un récit court où je ne m'attendais à pas grand chose. Eh bien, j'ai été assez bluffé. Il est vrai que le début est compliqué. On est dans le flou, Vana est la narratrice, un texte écrit à la première personne. Je me suis demandé à quelle époque se situait l'histoire. Il était question de clans et de grottes, j'ai donc pensé à la préhistoire. de plus, j'ai compris bien plus loin que c'était une femme (du nom de Vana) qui était la narratrice. Puis, l'histoire est entrecoupé de chapitres écrit à la troisième personne, narrant des faits au compte-goutte. Intéressant ce mélange entre ces deux styles de narrations. Puis, on comprend qu'il s'est passé une grande catastrophe. La civilisation s'est formé sur une cité, les autres sont dehors.
L'auteur va vers l'essentiel. Très ou trop peu de détails sont évoqués dans cette histoire. Paul Bera oriente son roman (ou longue nouvelle) sur cette théorie, celle du liseron.
Au final, rien d'exceptionnel. Dommage qu'il n'ait pas été un peu plus loin sur cette cité (féodale?), sur le premier gouverneur du nom de Val Vanor (Ah ah ça me fait me penser à un méchant culte). Bien que plaisant, il y eut quelques passages un peu ennuyeux où c'était difficile de compréhension.
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