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Critique de Chrisbookine
La petite histoire
On plonge dans un monde sylvestre, ensauvagé où l'homme survit derrière les murs de forteresses. Il n'est pas le bienvenu dans la nature qui s'avère hostile, créatures et plantes alliées. Titania, émissaire entre ces deux mondes essaie de sauvegarder cette paix fragile. Mais en a-t-elle le pouvoir ?
Mon ressenti
Ce récit de fantasy prend son temps et donne à voir les implications des hommes dans leur destin, leurs responsabilités. L'autrice s'attache aux pas de certains d'entre eux pour nous permettre de comprendre. J'ai apprécié de suivre Titania l'ensorceleuse et Puck, le chat facétieux, Seï, le mercenaire intrépide et ses compagnons, le jeune Gab, apprenti mineur, l'alchimiste Pol, Maireen...
C'est une sensation douce-amère qui me reste à la fin de cette histoire qui nous renvoie, en tant que lecteurices, l'image de notre société avide et destructrice de la nature. Miroir qui nous montre le long chemin à parcourir encore, sans l'aide des émissaires disparus.
On plonge dans un monde sylvestre, ensauvagé où l'homme survit derrière les murs de forteresses. Il n'est pas le bienvenu dans la nature qui s'avère hostile, créatures et plantes alliées. Titania, émissaire entre ces deux mondes essaie de sauvegarder cette paix fragile. Mais en a-t-elle le pouvoir ?
Mon ressenti
Ce récit de fantasy prend son temps et donne à voir les implications des hommes dans leur destin, leurs responsabilités. L'autrice s'attache aux pas de certains d'entre eux pour nous permettre de comprendre. J'ai apprécié de suivre Titania l'ensorceleuse et Puck, le chat facétieux, Seï, le mercenaire intrépide et ses compagnons, le jeune Gab, apprenti mineur, l'alchimiste Pol, Maireen...
C'est une sensation douce-amère qui me reste à la fin de cette histoire qui nous renvoie, en tant que lecteurices, l'image de notre société avide et destructrice de la nature. Miroir qui nous montre le long chemin à parcourir encore, sans l'aide des émissaires disparus.
