Du texte, du texte, du texte !
Et pour dire quoi ?
A la fin du bouquin, on n'en sait pas beaucoup plus.
Et il y a un décalage, à mon avis, entre le milieu décrit et le style littéraire utilisé.
On est attiré par le fin minois de J. Gabin sur la couverture, et on s'aperçoit que parfois les scénaristes et les acteurs apportent aux récits de départ.
Passez votre chemin, bonnes gens !
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