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Critique de tynn
Entre conte philosophique et vision contemporaine de la peau de chagrinDe Balzac, Antoine Billot imagine une histoire assez surréaliste.
Son héros Thomas découvre soudain sa capacité à avoir des visions sur des choses qu'il est censé ne pas connaitre. Son cerveau emmagasine des détails insolites sans qu'il puisse maitriser ce qu'il appelle vite le phénomène. Intrigué et inquiet, il finit par être grisé par cette capacité d'accaparer et stocker de l'information. Il lui faut néanmoins négocier avec son cerveau car à chaque vision acquise, c'est une partie de son corps qui perd en sensibilité. L'image de la "peau" De Balzac est très pertinente.
Un livre insolite, mais pas toujours aisé à lire, qui fait réfléchir sur la différence entre informations et connaissances. Dans notre monde de surmédiatisation, nous avons accès sans effort à un nombre incalculable de documentations souvent déshumanisées, virtuelles, visuelles, au détriment de la connaissance encyclopédique.
J'ai lu un peu en diagonale mais il est intéressant de laisser l'auteur en parler lui-même.
( ce que j'ai fait en glanant de l'information sur Internet: je sens déjà que mon gros orteil est insensible!) ;-)
Son héros Thomas découvre soudain sa capacité à avoir des visions sur des choses qu'il est censé ne pas connaitre. Son cerveau emmagasine des détails insolites sans qu'il puisse maitriser ce qu'il appelle vite le phénomène. Intrigué et inquiet, il finit par être grisé par cette capacité d'accaparer et stocker de l'information. Il lui faut néanmoins négocier avec son cerveau car à chaque vision acquise, c'est une partie de son corps qui perd en sensibilité. L'image de la "peau" De Balzac est très pertinente.
Un livre insolite, mais pas toujours aisé à lire, qui fait réfléchir sur la différence entre informations et connaissances. Dans notre monde de surmédiatisation, nous avons accès sans effort à un nombre incalculable de documentations souvent déshumanisées, virtuelles, visuelles, au détriment de la connaissance encyclopédique.
J'ai lu un peu en diagonale mais il est intéressant de laisser l'auteur en parler lui-même.
( ce que j'ai fait en glanant de l'information sur Internet: je sens déjà que mon gros orteil est insensible!) ;-)
