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Critique de lauraia
Tout d'abord merci à masse critique et les éditions first pour cette découverte !
On va participer au quotidien condensé de 3 femmes qui ont subi des violences conjugales.
Les violences conjugales peuvent prendre différentes formes mais un point commun les uni; la perte de confiance en soi pour la victime.
L'autrice, avec l'aide de psy et de pros, décide de nous décrire trois destins entrecoupés par des notes théoriques qui sont très intéressantes.
On ne comprend pas souvent pour quelle raison la femme battue reste dans cette situation. On entend souvent de beaux discours "si elle reste c'est qu'elle accepte". L'autrice, via ce graphique, nous permet de comprendre tout le processus de mise en place de ces violences.
Ce n'est pas un livre à mettre entre toutes les mains. On pourrait penser de par sa belle couverture et les graphismes que ce n'est qu'un graphique mais il représente bien plus.
Je sors de cette lecture un peu bouleversée mais surtout horrifiée car non, aucun Homme ne peut détruire une personne et sûrement pas de cette manière.
On va participer au quotidien condensé de 3 femmes qui ont subi des violences conjugales.
Les violences conjugales peuvent prendre différentes formes mais un point commun les uni; la perte de confiance en soi pour la victime.
L'autrice, avec l'aide de psy et de pros, décide de nous décrire trois destins entrecoupés par des notes théoriques qui sont très intéressantes.
On ne comprend pas souvent pour quelle raison la femme battue reste dans cette situation. On entend souvent de beaux discours "si elle reste c'est qu'elle accepte". L'autrice, via ce graphique, nous permet de comprendre tout le processus de mise en place de ces violences.
Ce n'est pas un livre à mettre entre toutes les mains. On pourrait penser de par sa belle couverture et les graphismes que ce n'est qu'un graphique mais il représente bien plus.
Je sors de cette lecture un peu bouleversée mais surtout horrifiée car non, aucun Homme ne peut détruire une personne et sûrement pas de cette manière.
