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Critique de Deco
Un bouquin étonnant.
Le style, lent, préfigure celui de le Carré, qui (selon Wiki), se serait inspiré de Bingham pour créer son personnage de Smiley.
Il y a très peu d'action.
L'essentiel consiste en interrogatoires et contre-interrogatoires.
C'est d'une grande subtilité.
L'argument : le "Secret Intelligence Service" est persuadé qu'il y a un traitre dans ses rangs.
On décide de créer un leurre.
À cette fin, on forme un civil, représentant en tissus qui prospecte les pays de l'est. Comptant qu'il soit arrêté comme espion par les Russes.
C'est alors le jeu interne de rivalité et de pouvoir au sein du KGB pour conduire les interrogatoires.
À la fin, retour à Londres où l'espion est démasqué par une circonstance domestique inattendue.
Le style, lent, préfigure celui de le Carré, qui (selon Wiki), se serait inspiré de Bingham pour créer son personnage de Smiley.
Il y a très peu d'action.
L'essentiel consiste en interrogatoires et contre-interrogatoires.
C'est d'une grande subtilité.
L'argument : le "Secret Intelligence Service" est persuadé qu'il y a un traitre dans ses rangs.
On décide de créer un leurre.
À cette fin, on forme un civil, représentant en tissus qui prospecte les pays de l'est. Comptant qu'il soit arrêté comme espion par les Russes.
C'est alors le jeu interne de rivalité et de pouvoir au sein du KGB pour conduire les interrogatoires.
À la fin, retour à Londres où l'espion est démasqué par une circonstance domestique inattendue.
