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Critique de SCOman


Après Ishiwara, l'homme qui déclencha la guerre (Éd. Armand Colin, 2012), qui retraçait le parcours emblématique du général japonais ultranationaliste Ishiwara Kenji durant l'entre-deux-guerres, Bruno Birolli s'attaque ici à la bataille la plus célèbre du conflit russo-japonais de 1904-1905. le siège par l'Armée Impériale de la seconde plus importante base navale russe de la côte orientale, après Vladivostok, constitue le climax de ce conflit meurtrier. Meurtrier car le siège coûta aux Japonais rien moins que 60.000 morts (130.000 morts sur l'ensemble de la guerre) ! Ces pertes énormes malgré la victoire sont à mettre en parallèle du bilan russe, dont la garnison et la flotte de Port-Arthur furent tout simplement rayées de la carte. Bruno Birolli nous narre avec précision et clarté ces mois de siège sanglants (8 février 1904-5 janvier 1905), de manière synthétique mais jamais lacunaire, tout en revenant sur les tenants et aboutissants diplomatiques de cette guerre. Car la victoire japonaise de Port-Arthur est une (...)
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