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Critique de Leschroniquesdekali
C'est vraiment par le plus grand des hasards que Matthew se retrouve à une vente aux enchères caritative un peu particulière. le lot qui l'intéresse : un Daddy pour Noël !
Pourtant, il n'avait jamais été tenté par ce genre de pratique mais la photo du couple sur l'offre le fait craquer. Et si c'était de ça dont il avait besoin pour passer le cap, pour s'assumer enfin ? Un Daddy et c'est parti !
Erik n'était pas vraiment chaud pour se mettre aux enchères, même pour la bonne cause. A 38 ans, son dernier Garçon dont il était amoureux l'a quitté pour un autre il y a 6 mois et il en a gros. Depuis, c'est ceinture, pas question de craquer et de se faire avoir à nouveau. le Daddy a le coeur tendre, après tout ! Mais bon, son meilleur pote, Nick, n'en peut plus de voir sa tronche de désespéré, donc pas le choix.
Alors qu'il s'attend à rencontrer un homme plus jeune que lui, c'est Matthew, 41 ans, qui semble avoir gagné le gros lot. Tout en lui réveille ses sens : sa fragilité, sa détermination et ces petits poils poivre et sel qui dépassent de sa chemise.
Attention, Erik, on garde la tête froide, on ne s'emballe pas ! On a dit une journée, une nuit, en mode Daddy-Boy et chacun repart à sa vie. Sauf qu'une belle tempête de neige risque bien de les coincer un peu plus longtemps dans ce beau chalet douillet où Matthew semble enfin trouver ce qu'il cherchait …
Adeptes des romances doudous et mignonettes de Noël, attention, ici, on est dans le rayon Spicy.
Matthew trimballe pas mal de casseroles dues à une éducation religieuse hyper stricte et à l'aube de la quarantaine ne connait pas grand-chose à l'amour. Après avoir recherché si souvent l'humiliation punitive, il rêve de câlins au coin du feu, de cadeaux au pied du sapin, mais pas que …
Et oui, toute une vie de disette, ça donne faim. Et il a très, très faim, le Matthew.
Erik apparait comme la solution. Il est si attentionné, si directif, alternant douceur et domination. Très à l'écoute, c'est lui qui m'a le plus touchée car, si se mettre au service de son Soumis faisait partie du boulot, il fait tout pour donner à Matthew les armes pour s'assumer.
Allez, fini la guimauve. On ne va pas se voiler la face, les scènes sont assez chaudes et quelques-unes relativement déroutantes. L'une d'entre elles où Matthew exorcise son ultime démon m'a laissée entre doute et éclat de rire. L'auteure s'est lâchée dans un délire inversement cathartique. Je n'ai pas de mot, je me marre encore. Bon, l'essentiel, c'est que le petit Matthew aille mieux.
Les deux personnages sont en perpétuelle introspection, hésitants, se posant des questions sur leurs sentiments, la marche à suivre, leur avenir. On comprend leur point de vue par l'alternance de chapitres consacrés tantôt à l'un, tantôt à l'autre. Et entre deux introspections, ils s'introspectent mutuellement, voyez-vous ?
Une romance qui se passe à Noël, avec le côté déco, cadeaux mais qui n'est pas à mettre entre toutes les mains.
Une romance dans laquelle la quête de soi reste un élément central. La bienveillance et le respect entraînent un état fusionnel des deux personnages et rendent l'histoire chaleureuse. La plume de l'auteure est toujours aussi fluide et agréable dans un domaine qu'elle n'avait pas encore abordé me semble-t-il.
Pourtant, il n'avait jamais été tenté par ce genre de pratique mais la photo du couple sur l'offre le fait craquer. Et si c'était de ça dont il avait besoin pour passer le cap, pour s'assumer enfin ? Un Daddy et c'est parti !
Erik n'était pas vraiment chaud pour se mettre aux enchères, même pour la bonne cause. A 38 ans, son dernier Garçon dont il était amoureux l'a quitté pour un autre il y a 6 mois et il en a gros. Depuis, c'est ceinture, pas question de craquer et de se faire avoir à nouveau. le Daddy a le coeur tendre, après tout ! Mais bon, son meilleur pote, Nick, n'en peut plus de voir sa tronche de désespéré, donc pas le choix.
Alors qu'il s'attend à rencontrer un homme plus jeune que lui, c'est Matthew, 41 ans, qui semble avoir gagné le gros lot. Tout en lui réveille ses sens : sa fragilité, sa détermination et ces petits poils poivre et sel qui dépassent de sa chemise.
Attention, Erik, on garde la tête froide, on ne s'emballe pas ! On a dit une journée, une nuit, en mode Daddy-Boy et chacun repart à sa vie. Sauf qu'une belle tempête de neige risque bien de les coincer un peu plus longtemps dans ce beau chalet douillet où Matthew semble enfin trouver ce qu'il cherchait …
Adeptes des romances doudous et mignonettes de Noël, attention, ici, on est dans le rayon Spicy.
Matthew trimballe pas mal de casseroles dues à une éducation religieuse hyper stricte et à l'aube de la quarantaine ne connait pas grand-chose à l'amour. Après avoir recherché si souvent l'humiliation punitive, il rêve de câlins au coin du feu, de cadeaux au pied du sapin, mais pas que …
Et oui, toute une vie de disette, ça donne faim. Et il a très, très faim, le Matthew.
Erik apparait comme la solution. Il est si attentionné, si directif, alternant douceur et domination. Très à l'écoute, c'est lui qui m'a le plus touchée car, si se mettre au service de son Soumis faisait partie du boulot, il fait tout pour donner à Matthew les armes pour s'assumer.
Allez, fini la guimauve. On ne va pas se voiler la face, les scènes sont assez chaudes et quelques-unes relativement déroutantes. L'une d'entre elles où Matthew exorcise son ultime démon m'a laissée entre doute et éclat de rire. L'auteure s'est lâchée dans un délire inversement cathartique. Je n'ai pas de mot, je me marre encore. Bon, l'essentiel, c'est que le petit Matthew aille mieux.
Les deux personnages sont en perpétuelle introspection, hésitants, se posant des questions sur leurs sentiments, la marche à suivre, leur avenir. On comprend leur point de vue par l'alternance de chapitres consacrés tantôt à l'un, tantôt à l'autre. Et entre deux introspections, ils s'introspectent mutuellement, voyez-vous ?
Une romance qui se passe à Noël, avec le côté déco, cadeaux mais qui n'est pas à mettre entre toutes les mains.
Une romance dans laquelle la quête de soi reste un élément central. La bienveillance et le respect entraînent un état fusionnel des deux personnages et rendent l'histoire chaleureuse. La plume de l'auteure est toujours aussi fluide et agréable dans un domaine qu'elle n'avait pas encore abordé me semble-t-il.
