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Critique de Perdre-son-temps
Un ouvrage auquel je tiens énormément !
Au premier coup d'oeil, la couverture ne lui rendait pas justice : bleu et rouge sale, orné d'étoiles, présentant une sorte de panacée à l'écriture filmique parce que cela serait "américain"… Défiez-vous de cette fausse première impression ! Un livre essentiel si vous vous intéressez assez à l'écriture pour le cinéma: essayez à tout prix de mettre la main sur un exemplaire (peut-être difficile à trouver aujourd'hui).
"La force des cinéastes américains, a dit Godard, c'est qu'ils savent raconter une histoire ; les autres n'y arrivent pas". La formule prend des raccourcis mais à l'évidence écrire pour le cinéma requiert une véritable technique.
Il se présente comme la remise en forme par chapitres-leçons d'une "master-classe" d'écriture cinématographique qui s'est tenue à Bruxelles dans les années 90. Des clés, des repères, des méthodes et beaucoup d'exemples : c'est un manuel. Il n'y a pas de jargon.
Alors bien sûr, peut-être la limite d'un tel livre sera d'ordre "mécanique". Mais ce n'est pas non plus un livre de recettes, libre à chacun avec sa sensibilité propre d'en interpréter les ressources.
Un livre passionnant tant pour celui qui voudrait se frotter à l'écriture cinématographique, que le professionnel en quête d'un vade mecum à se mettre sous le coude. Aussi pourquoi pas un outils pour la critique et l'analyse, sports préférés du vrai cinéphile.
Au premier coup d'oeil, la couverture ne lui rendait pas justice : bleu et rouge sale, orné d'étoiles, présentant une sorte de panacée à l'écriture filmique parce que cela serait "américain"… Défiez-vous de cette fausse première impression ! Un livre essentiel si vous vous intéressez assez à l'écriture pour le cinéma: essayez à tout prix de mettre la main sur un exemplaire (peut-être difficile à trouver aujourd'hui).
"La force des cinéastes américains, a dit Godard, c'est qu'ils savent raconter une histoire ; les autres n'y arrivent pas". La formule prend des raccourcis mais à l'évidence écrire pour le cinéma requiert une véritable technique.
Il se présente comme la remise en forme par chapitres-leçons d'une "master-classe" d'écriture cinématographique qui s'est tenue à Bruxelles dans les années 90. Des clés, des repères, des méthodes et beaucoup d'exemples : c'est un manuel. Il n'y a pas de jargon.
Alors bien sûr, peut-être la limite d'un tel livre sera d'ordre "mécanique". Mais ce n'est pas non plus un livre de recettes, libre à chacun avec sa sensibilité propre d'en interpréter les ressources.
Un livre passionnant tant pour celui qui voudrait se frotter à l'écriture cinématographique, que le professionnel en quête d'un vade mecum à se mettre sous le coude. Aussi pourquoi pas un outils pour la critique et l'analyse, sports préférés du vrai cinéphile.
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