Et voilà... je viens juste de finir
La fenêtre de dieu et ça me manque déjà... Ce livre est un aspirateur, j'y ai été engloutie comme Alan Parish dans Jumanji est aspiré dans le jeu, avalée comme Tolbiac par sa cuvette...
Ce roman ne laisse pas une minute de répit, C'est rythmé, prenant, drôle mais aussi effrayant (je ne peux rien dire de plus au risque de spoiler) et tellement bien écrit !!!
Si je devais définir ce roman en un mot, ce serait JUBILATOIRE !!!
Bien évidemment j'espère que ce n'est que le début d'une longue carrière...
Pour conclure je vais plagier et détourner
Jules Renard : Quand je pense qu'il me reste à lire des
Cédric Blondelot, j'ai la certitude d'être encore heureuse.
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