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Critique de terrystad


Dans la 1ere partie, nommée Noyade secondaire, le recours immodéré à des lieux précis de Montréal m'a excédé; je me disais « ah non! Pas encore cet nombrilisme montréalais (Québec), cette mélancolie! ». Cependant, dans les parties qui suivent le tout devient moins envahissant et on se laisse porter par la narration.

J'ai notamment appris que la rue perpendiculaire Gilford (ainsi, peut importe la direction que l'on prend, on ne peux éviter de croiser cette artère) fait référence à un dénommé Joseph Guibord. « Le nom Gilford est une déformation du patronyme Guibord. « Ce dernier nom fut mal transcrit sur les plans de Montréal préparés par Henry W. Hopkins en 1879 (après la conquête des Anglais sur la Nouvelle-France); cette erreur fut reproduite par la suite sur d'autres plans » (Wikipedia).

La partie « La ville invisible 2 » n'es pas sans rappeler l'oeuvre 1Q84 de Haruki Murakami, avec quelques pages en moins… ;)
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