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Critique de Mero


Dans ce dixième tome Ken devient le manager attitré d'un girls band composé de quatre demoiselles aux tempéraments explosifs.

C'est après avoir managé Sun, la vedette sud-coréenne, qu'il monte d'un cran au sein de l'agence d'idoles. Un tome placé - une fois de plus - sous le signe de l'ecchi. L'auteur se montre toujours aussi friand de situations coquines ne lésine pas sur la quantité des scènes du genre.

Je trouve profondément regrettable l'évolution du manga Sun Ken Rock depuis deux tomes maintenant. Passé le cap du dixième numéro, je n'arrive toujours pas à comprendre où l'auteur nous amène, ni les choix qu'il entreprend concernant ce qui faisait le charme des débuts : le gang de Ken...

Alors oui, maintenant on sait, on sait très bien, qu'il adore porter des fringues de luxe, rouler en merco, être rongé par le remord durant ses coïts avec des filles sexy, mais à un moment donné on se demande où tout cela mène si ce n'est à des gags de plus en plus graveleux.

C'est ce manque de cohérence qui commence à avoir raison de ma patience concernant la suite de la lecture.
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