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Critique de umezzu
Cette BD est parait-il un hommage de Bonhomme à Morris... Ouaip...
Sans médire, je ne vois pas trop où se situe l'hommage. le Lucky Lucke de Bonhomme est certes célèbre dans l'Ouest américain, grand défenseur de la justice, mais c'est aussi un type bien naïf, qui se fait voler, tour à tour, son colt et son cheval. Chez Morris, Jolly Jumper ne se serait pas laissé faire. Bref, le héro est un peu mou et pas particulièrement vif du ciboulot.
Alors que le personnage de Morris faisait lui montre de flegme dans l'adversité et d'une analyse toujours claire des situations.
Bonhomme rend lisse même le dessin du cowboy. Il devient plus longiligne et juvénile de visage. le choix est d'aller vers le western spaghetti. Rappelons que le personnage de Morris a été créé bien avant que Cinécitta s'intéresse au grand ouest américain.
Quand au scénario, il n'est pas très développé, mais ce n'a jamais été le point fort de la série originelle.
Ouaip... Décevant tout cela...
Sans médire, je ne vois pas trop où se situe l'hommage. le Lucky Lucke de Bonhomme est certes célèbre dans l'Ouest américain, grand défenseur de la justice, mais c'est aussi un type bien naïf, qui se fait voler, tour à tour, son colt et son cheval. Chez Morris, Jolly Jumper ne se serait pas laissé faire. Bref, le héro est un peu mou et pas particulièrement vif du ciboulot.
Alors que le personnage de Morris faisait lui montre de flegme dans l'adversité et d'une analyse toujours claire des situations.
Bonhomme rend lisse même le dessin du cowboy. Il devient plus longiligne et juvénile de visage. le choix est d'aller vers le western spaghetti. Rappelons que le personnage de Morris a été créé bien avant que Cinécitta s'intéresse au grand ouest américain.
Quand au scénario, il n'est pas très développé, mais ce n'a jamais été le point fort de la série originelle.
Ouaip... Décevant tout cela...
