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Critique de Claire45
La jeune narratrice, une petite sauvageonne, raconte "maman", une femme fantasque, la plus belle du monde toujours très maquillée et vêtue de robes colorées somptueuses. La nuit elle s'invente des fêtes et ouvre la porte aux hommes qui frappent. elles vivent toutes deux dans une maison isolée à la lisière de la forêt.
Mais cette nuit-là, maman a disparu. Et la petite voudrait tuer ces femmes du village aux langues vipérines.
Le temps passe, la fillette porte maintenant les robes de celle qui fut maman et connaît la même existence marginale.
Un premier roman qui parle des femmes avant la loi Veil, dans un style âpre, original, allant à l'essentiel des faits ressentis.
Mais cette nuit-là, maman a disparu. Et la petite voudrait tuer ces femmes du village aux langues vipérines.
Le temps passe, la fillette porte maintenant les robes de celle qui fut maman et connaît la même existence marginale.
Un premier roman qui parle des femmes avant la loi Veil, dans un style âpre, original, allant à l'essentiel des faits ressentis.
