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Critique de philippepl
Son argumentation, à propos du désarroi de l' « homo religiosus » germain est étonnante car cinq ans après la publication de cet ouvrage, il se fait moins rigoureux avec sa logique et note à propos de l'universalité du sacré : « On sait que la religion de mon voisin est une mythologie pour moi, le phénomène est bien connu, sauf dans le cas des religions à vocation universelle. Mais mutatis mutandis, ma propre religion est mythologique pour lui. Il n'empêche qu'un même type de sacré sous-entend et sa mythologie et ma religion » . S'il dénie aux anciens Scandinaves le soin d'avoir élaboré une religion charpentée, il sait être prolixe en définitions générales dont nous nous interrogeons sur l'intérêt: "Nos religions ne sont en somme, que l'appareil qui organise les relations de l'homme et du sacré" .
