N'ayant pas forcément bien compris l'ordre des romans du cycle d'Avallon de
Marion Zimmer Bradley, j'ai lu
La colline du dernier adieu après Les dames du Lac. Les deux oeuvres fonctionnent de façon complètement indépendante, car situées à des époques différentes, ce qui ne m'a donc pas gênée.
En revanche, comme Les Dames du Lac m'a paru meilleur, j'ai été légèrement déçue par la
La colline du dernier adieu. Ce n'est pas un mauvais roman, avec son émouvante histoire d'amour impossible et sa plongée dans l'univers des celtes d'outre Manche à la fin de l'Empire romain. Mais peut-être manque-t-il d'un portée un peu plus large au final.
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