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Critique de dannso


Je suis fan de Roy Braverman quelque soit le nom qu'il utilise et je me réjouissais de lire son dernier opus, d'autant plus que les premiers retours étaient plutôt positifs. J'ai passé un bon moment, ma note reste bonne, mais j'éprouve quand même un léger sentiment de déception.

Le livre est addictif et les chapitres défilent. Il est sûr que l'on a beaucoup de mal à poser le roman. Les évènements s'enchainent, les péripéties se font nombreuses, nos espions et policiers traversent le monde à la recherche d'informations, on n'a pas une seconde pour souffler. Et c'est là que chez moi cela a fini par lasser. J'ai trouvé que trop c'était trop.

J'ai beaucoup aimé la première moitié du livre, le récit de ces trois meurtres aux circonstances analogues, d'un bout à l'autre de la planète. Les décors de chacun sont évoqués avec beaucoup de détails et permettent aux scènes de prendre vie dans notre tête. On prend là le temps de faire connaissance avec les personnages, dont l'agent Karakozian et Maria « Tigre » Mendoza, policière argentine. Deux personnages que je ne suis pas près d'oublier.
J'ai trouvé intéressantes les premières recherches sur ces meurtres, les questionnements sur ce qui peut lier les différentes familles touchées, les interactions entre ces familles, et les policiers.

Et puis tout s'accélère, les israéliens entrent dans la danse, les rebondissements, courses-poursuites, enlèvements, rencontres providentielles se succèdent et j'avoue avoir légèrement décoché.

A tel point que je n'ai vu nulle part expliquée la signification des trois lettres TFS, même si je peux la deviner. Si quelqu'un peut me le confirmer en MP ...

Ce qui rend cette lecture quand même savoureuse, c'est l'humour de l'auteur que l'on retrouve ici et sa capacité à créer des personnages hors normes, auxquels on ne peut s'empêcher de s'attacher.


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